Dans le monde d'aujourd'hui, 1929 en dadaïsme et surréalisme est un sujet de plus en plus pertinent et controversé. Au fil du temps, elle a acquis une importance croissante dans la société, influençant différents aspects de la vie quotidienne. Que ce soit dans le domaine politique, économique, technologique, culturel ou autre, 1929 en dadaïsme et surréalisme est devenu un sujet central qui suscite des opinions contradictoires et des positions diverses. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à 1929 en dadaïsme et surréalisme, en analysant son impact sur la société et en réfléchissant aux implications qu'il a pour notre présent et notre avenir.
À la Bourse de Charleroi (Belgique), première exposition de René Magritte où Paul Nougé prononce une conférence accompagné par la musique d'André Souris[1].
Février
André Breton envoie une lettre à de nombreuses personnalités plus ou moins proches du surréalisme dans laquelle il demande « compte de leur position idéologique, en vue d'une action individuelle ou collective qu'il s'agit de déterminer. »[réf. nécessaire]
1er avril Lettre d'Antonin Artaud à Yvonne Allendy : « Amélioration très sensible obtenue à la suite de quelques piqûres. Dans l'espace de 24 heures le gros de mes douleurs a cédé et la vie m'est devenue plus supportable. Il n'était que temps car j'étais décidé à en finir. »[7]
Antonin Artaud, L'Art et la mort, recueil de textes publiés en revue entre 1925 et 1927, orné d'une eau-forte de Jean de Bosschère, édité par la librairie des Trois Magots de Robert Denoël à la suite de la brouille avec Jean Paulhan[8]
Jacques Rigaut se suicide d'une balle de revolver tirée en plein cœur[13].
Lettre d'Antonin Artaud à Jean Paulhan dans laquelle il exprime « regrets et remords » à propos de la « sinistre affaire du Songe. »[20]
Première exposition parisienne de Salvador Dalí à la Galerie Goemans. Le catalogue est préfacé par André Breton : « De l'autre côté, il y a l'espoir, l'espoir que tout ne sombrera pas quand même, que l'admirable voix qui est celle de Dalí ne se brisera pas pour commencer à son oreille, du fait que certains « matérialistes » sont intéressés à la lui faire confondre avec le craquement de ses souliers vernis. »[21]
Après la visite d'Eluard à L'Isle-sur-la-Sorgue (Vaucluse), René Char se rend à Paris[19].
Max Ernst, La Femme 100 têtes précédé d'un « Avis au lecteur » d'André Breton[24].
Prenant le parti de Breton, Dalí refuse à Georges Bataille de lui donner des photographies de quelques-unes de ses œuvres pour la revue Documents : « les idées de cette revue et surtout celles de Georges Bataille sont exactement à l'opposé des miennes. »[25].
1929, petit ouvrage parodique obscène avec des photos de Kiki de Montparnasse par Man Ray. Péret : « Je suis fouteur voilà ma gloire / Mon espérance est dans ma main / Je suis le plus grand fouteur de l'Histoire / Je décharge sur ton chien. »[29]
Le Théâtre Alfred Jarry et l'hostilité publique, brochure de 48 pages avec des photomontages à partir de photos réalisées par Éli Lotar : « Le Théâtre Alfred Jarry, conscient de la défaite du théâtre devant le développement envahissant de la technique internationale du cinéma, se propose par des moyens spécifiquement théâtraux de contribuer à la ruine du théâtre tel qu'il existe actuellement en France, en entraînant dans cette destruction toutes les idées littéraires ou artistiques , tous les artifices plastiques sur lesquels ce théâtre est bâti. »[33]
↑113 × 89 cm. Reproduction dans Art actuel no 58, septembre 2008, p. 31.
↑Le compositeur américain George Antheil (1900-1959) réalisera pour cette œuvre 50 préludes, dans Biro & Passeron, p. 24. Trois des collages sont reproduit dans Alexandrian, p. 93 et Jean-Louis Bédouin, André Breton, 1950, édition de 1993, éditions Seghers, collection Poètes d'aujourd'hui (ISBN2-232-10444-3), p. 184. Cinq dessins sont reproduits dans Surréalisme, 2024, catalogue de l'exposition du centenaire, Centre Pompidou (ISBN978-2-84426-988-1), p. 50.
↑24 × 43 × 13,5 cm. Washington, DC. Description dans Didier Ottinger (sous la direction de), Dictionnaire de l'objet surréaliste, Gallimard & Centre Pompidou, Paris, 2013 (ISBN978-2-07-014181-4), p. 309. Reproduction dans Art actuel no 52, p. 31.
↑47 × 30 cm. Collection Mony Vibescu. Reproduction dans (fr + en) Alix Agret (dir.) et Dominique Païni (dir.), Surréalisme au féminin ?, In fine, (ISBN978-2-38203-116-2), p. 88.