Le sujet de 2010 en Zambie a suscité un grand intérêt dans la société actuelle. C’est une question qui nous concerne tous d’une manière ou d’une autre, directement ou indirectement. Il s’agit sans aucun doute d’un sujet qui a généré des opinions contradictoires et qui a fait l’objet de nombreux débats. Dans cet article, nous analyserons 2010 en Zambie en détail et ses implications dans notre vie quotidienne. Nous explorerons différentes perspectives et chercherons à mieux comprendre cette problématique qui nous préoccupe tant.
Cet article présente les faits marquants de l'année 2010 en Zambie.
Évènements
Mardi : un responsable du parti au pouvoir, chef de la ligue de la jeunesse du Mouvement pour la démocratie multipartite (MMD), Chris Chalwe, a menacé la présidente du Forum pour la démocratie et le développement (FDD), Edith Nawakwi, petit parti de l'opposition de « viol collectif » après qu'elle eut critiqué le président Rupiah Banda : « Nous allons violer en bande Nawakwi si elle continue d'attaquer le président Le président a été élu par le peuple de Zambie et mérite le respect de tous les citoyens et vous pouvez être sûrs que nous violerons en groupe qui que ce soit qui l'insulte ». Edith Nawakwi avait soutenu la candidature de Rupiah Banda lors des élections de 2008 mais a ensuite qualifié son travail d'« échec complet ». Chris Chalwe, réputé pour ses déclarations à l'emporte-pièces, fait l'objet de poursuites en justice pour avoir battu des journalistes qui couvraient un déplacement du président[1].
Lundi : les pluies torrentielles des derniers jours ont causé un important glissement de terrain qui a emporté un village de pêcheurs dans le district de Mpulungu, près de la frontière avec la Tanzanie. Neuf personnes sont mortes et trente familles ont perdu leur logement. D'autre part la capitale Lusaka est en partie inondée.
Mardi : le président Omar el-Béchir, objet d'un mandat d'arrêt de la CPI pour crimes de guerre, a décidé de ne pas se rendre le lendemain en Zambie pour un sommet de la conférence des Grands Lacs, Lusaka ayant refusé de préciser si elle l'aurait arrêté à cette occasion.