Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de 2012 par pays au Proche-Orient et son impact sur la société moderne. Depuis ses débuts jusqu’à son évolution actuelle, 2012 par pays au Proche-Orient a laissé une marque indélébile sur divers aspects de nos vies. Nous analyserons son influence sur la culture, l'économie, la technologie et la politique, en cherchant à comprendre sa pertinence dans le monde contemporain. Grâce à la collecte de données, de témoignages et d'avis d'experts, nous visons à offrir une vision complète de 2012 par pays au Proche-Orient et de son rôle aujourd'hui.
: à Bassora, un kamikaze avec une ceinture d'explosifs cause 53 morts et 137 blessés parmi des pèlerins chiites[1].
: l'Irak exécute 17 condamnés à mort en une journée. 34 personnes avaient été exécutées en janvier. Les motifs des condamnations sont le terrorisme, le vol à main armée, l'enlèvement et le meurtre[2].
: selon un rapport publié par le Special Inspector General for Iraq Reconstruction (SIGIR), administration américaine chargée de la reconstruction de l'Irak, deux centres d'entraînement construits pour la police nationale irakienne, à Bagdad et à Bassora, pour une valeur totale de 206 millions de dollars, n'ont jamais été utilisés ; les autorités irakiennes les déclarent inutiles[3].
: l'Irak exécute 21 personnes condamnées à mort pour activités terroristes[4].
: l'ex-vice-président sunnite Tareq al-Hachemi, exilé en Turquie, est condamné à mort par contumace pour le meurtre de plusieurs personnalités[5].
: le président de la République Jalal Talabani est victime d'un accident vasculaire cérébral et est hospitalisé à l'étranger dès le surlendemain. Il ne sera plus en mesure d'exercer ses fonctions jusqu'à son retrait en 2014.