Aujourd'hui, nous voulons parler de Agora d'Athènes, un sujet qui a suscité intérêt et controverse au fil du temps. Agora d'Athènes est un sujet qui a été évoqué dans différents domaines et qui a généré des opinions contradictoires. Tout au long de l’histoire, Agora d'Athènes a fait l’objet d’études, de débats et d’analyses, tant sa pertinence et son impact sont indéniables. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Agora d'Athènes, de son origine à son influence aujourd'hui. De plus, nous chercherons à comprendre l'importance de Agora d'Athènes et comment il a marqué un avant et un après dans divers contextes. Sans aucun doute, Agora d'Athènes est un sujet qui ne laisse personne indifférent et qui continuera à susciter de l’intérêt à l’avenir.
L’Agora d'Athènes, ou agora classique, est une ancienne place publique d'Athènes située au pied de la butte de Colonos Agoraios. Créée au VIe siècle av. J.-C., elle accueille notamment les principaux bâtiments politiques, des édifices à vocation religieuse ou juridique, et forme le carrefour des axes de communication dans la cité d'Athènes. Elle est peu à peu abandonnée pendant la période romano-byzantine. À partir du milieu du XIXe siècle, elle fait l'objet de nombreuses fouilles archéologiques, et est au XXIe siècle un important site touristique de la ville d'Athènes.
L'agora d'Athènes est créée sous l'archontat de Solon (594-593 av. J.-C), lorsque ce dernier décide de déplacer l'agora archaïque[Note 1], située au nord-est de l'Acropole. Le déplacement nécessite alors de vider l'emplacement des tombes et des maisons qui s'y trouvent.[réf. nécessaire] À partir de cette période, l'agora d'Athènes accueille les principaux bâtiments politiques de la cité, jusque là situés sur l'Acropole, et les pouvoirs se séparent en plusieurs bâtiments distincts.
Durant l'Antiquité grecque, c'est à cet endroit que se déroulent les échanges, les rencontres et où s'exprime la vie sociale de la cité. Elle est complémentaire de l'Acropole, lieu central et surélevé qui rassemble ce qu'il y a de plus sacré, et de l'Agros, espace périphérique de la cité et zone nourricière de culture.
L'agora reste un espace ouvert pendant toute l'époque classique et ne deviendra un espace fermé qu'à l'époque hellénistique, avec l'ajout de la Stoa d'Attale, don du roi de Pergame.
Peu à peu, durant la longue période romano-byzantine, l'Agora d'Athènes est abandonnée et devient un simple quartier (dont les constructions ré-employèrent souvent les pierres antiques) et, lorsque la ville rétrécit à la suite des invasions des Goths (IVe siècle) et des Slaves (VIe siècle), elle représente la partie occidentale de la petite bourgade qu'est devenue Athènes (aujourd'hui[Quand ?] Pláka).
Les habitations qui occupent ensuite le site sont rachetées et rasées au XXe siècle, tandis que le site antique est dégagé. L'Agora d'Athènes est aujourd'hui un très important site archéologique et touristique, situé en plein cœur de la ville moderne, au pied de l'Acropole.
Les premières fouilles sur le site de l’Agora antique sont exécutées par la Société archéologique grecque au cours des années 1859-1912 et mettent surtout au jour le Portique des Géants et une partie du côté ouest de l’Agora, où l’Institut Archéologique allemand fouille en 1896-1897.
En 1890-1891, dans la partie nord de l’Agora une tranchée profonde est ouverte pour le passage de la voie ferrée Athènes-Le Pirée. On y trouve beaucoup de vestiges et de bâtiments anciens qui sont détruits, ainsi que des fragments de sculptures, transférées au Musée National[Lequel ?].
Les fouilles systématiques de l’École américaine d’études classiques commencent en 1931 et continuent jusqu’en 1940. Elles recommencent après la Seconde Guerre mondiale de 1946 à 1960. Pour fouiller le site entier, il faut démolir plus de 360 maisons modernes. De 1953 à 1956, grâce au financement accordé par JD. Rockefeller, le portique ou stoa d'Attale est reconstruit en vue d'une utilisation comme musée, réserves, laboratoires et bureau de fouilles du site de l’Agora. Le site réaménagé est confié à la Société Archéologique grecque.
En 2012, les travaux du métro d'Athènes mettent au jour le plus long tronçon actuellement connu de la Voie sacrée, la route venant d'Éleusis. Les fouilles permettent de dégager les murs de soutènement dont elle est encadrée ainsi que les ruines du cimetière antique qui la longe. Ces ruines s'échelonnent de l'époque géométrique jusqu'à la période post-romaine[1].
L'agora d'Athènes est située au pied de la butte de Colonos Agoraios. Elle se trouve au point le plus bas de l’astu et forme le carrefour des axes de communication dans la cité d'Athènes. Ainsi, l’autel des Douze Dieux est le point à partir duquel on calcule toutes les distances. Elle est entourée des grands axes de communications, vers Le Pirée, le port d’Athènes, la Porte sacrée et la porte du Dipylon et la voie des Panathénées vers l’Acropole.
La frontière entre les différentes catégories de bâtiments n'est pas toujours évidente. Le résultat des différentes fouilles est parfois vague. On ne sait à quoi correspond le bâtiment nommé arsenal, et la découverte du stratégeion est sujette à caution.
Toutefois, les fouilles ont révélé un important témoignage de la démocratie athénienne, les ostraca, tessons de poterie faisant office de bulletins dans la procédure d'ostracisme.