Dans le monde d'aujourd'hui, Akobo (rivière) est un sujet/concept/personne qui a acquis une grande pertinence et un grand intérêt dans divers domaines de la société. Que ce soit dans la politique, la science, l'art ou la vie quotidienne, Akobo (rivière) a marqué un avant et un après dans la façon dont les gens perçoivent et abordent différents aspects de la vie. Son impact se manifeste dans la manière dont se déroulent les conversations, dans l’approche donnée à certains problèmes ou dans la manière dont les décisions sont prises. Akobo (rivière) a généré controverse, inspiration, réflexion et action, devenant ainsi un élément clé pour comprendre la complexité du monde d'aujourd'hui. Dans cet article, nous explorerons l'impact de Akobo (rivière) et analyserons son influence dans différents domaines, ainsi que ses implications possibles pour le futur.
Akobo | |
![]() | |
![]() | |
Caractéristiques | |
---|---|
Longueur | 434 km |
Bassin collecteur | Nil |
Cours | |
Source | sur les plateaux d'Éthiopie |
· Localisation | Mizan Teferi |
Confluence | Rivière Pibor |
· Coordonnées | 7° 47′ 40″ N, 33° 02′ 46″ E |
Géographie | |
Pays traversés | ![]() ![]() |
modifier ![]() |
L'Akobo est une rivière située sur la frontière entre le Soudan du Sud et l'Éthiopie. Prenant sa source sur les plateaux d'Éthiopie près de la ville de Mizan Teferi, l'Akobo s'écoule sur 434 km avant de rejoindre la rivière Pibor[1] qui s'écoule elle-même dans la rivière Sobat au Soudan, venant ainsi alimenter le Nil Blanc.
La frontière Soudano-éthiopienne a été dessinée le long de la rivière Akobo en 1899 par deux ingénieurs royaux britanniques. ils n'avaient aucune connaissance du terrain, de ses habitants ou de leurs langues et manquaient par ailleurs de moyens. Plutôt que de tracer une ligne en fonction des peuples et des territoires traditionnels, essentiellement séparé par un escarpement entre les plaines et les terres hautes, ils ont simplement proposer de dessiner la frontière au milieu de la rivière Aboko, ainsi qu'une partie des rivières Pibor et Baro. Cette frontière ainsi définie fut adoptée dans le Traité Anglo-Ethiopien de 1902[2].
L'Akobo a fait l'objet de plusieurs exploitations minières, notamment pour recherche de l'or[3].