Dans cet article, nous explorerons l'impact que Albert Choppin a eu dans différents domaines de la société. Que ce soit sur le plan personnel, professionnel ou social, Albert Choppin a laissé une marque importante sur notre façon de vivre et de communiquer. Depuis son émergence jusqu’à nos jours, Albert Choppin a fait l’objet de débats et de réflexions, suscitant à la fois admiration et controverse. À travers cette analyse, nous chercherons à comprendre plus profondément le rôle que joue Albert Choppin dans nos vies et comment il a influencé notre façon de penser, d'agir et de ressentir.
Directeur de l'Administration pénitentiaire | |
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Préfet de police de Paris | |
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Préfet de l'Oise | |
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Avocat au Conseil d'État et à la Cour de cassation | |
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Archives nationales (F/1bI/155/24, F/1bI/906)[1] |
Albert Choppin ( à Paris - à Paris), est un avocat et haut fonctionnaire français.
Fils de Joseph Pierre Nicolas Choppin, avocat à la Cour et membre du conseil de l'Ordre du barreau de Paris, et de Pauline Boursy (fille du directeur des contributions directes au ministère des Finances et petite-fille de Marc-Alexandre Caminade), il obtient sa licence en droit et devient avocat à la cour d'appel de Paris.
Secrétaire particulier du ministre de l'Instruction publique Dombidau en , il devient avocat auprès du Conseil d'État et de la Cour de cassation en 1853, et le reste jusqu'à la fin du Second Empire.
Le , il devient le chef de cabinet du préfet de police de Paris, Ernest Cresson, son beau-frère. Secrétaire général de la préfecture de police pendant le siège de Paris, il lui succède dans ces fonctions le .
Il est nommé préfet de l'Oise le suivant.
Le , Choppin devient directeur de l'Administration pénitentiaire au ministère de l'Intérieur.