Le sujet de Carlo Alberto Brusa est une question qui a suscité un grand intérêt et un grand débat ces derniers temps. Avec les progrès de la technologie et les changements dans la société, Carlo Alberto Brusa est devenu un aspect crucial qui affecte différents domaines de nos vies. Sur le plan personnel, professionnel, social et politique, l'importance de Carlo Alberto Brusa est indéniable. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Carlo Alberto Brusa, en analysant son impact et sa pertinence dans divers contextes. De son origine à son évolution, en passant par ses implications et conséquences possibles, ce sujet ne laisse personne indifférent. Par ailleurs, nous tenterons d’éclairer les solutions ou approches possibles qui peuvent être adoptées contre Carlo Alberto Brusa, dans le but d’offrir une vision globale et complète de cette problématique si d’actualité aujourd’hui.
Naissance | |
---|---|
Surnom |
L'avocat des footballeurs |
Pseudonyme |
CAB |
Nationalité | |
Activités |
Site web |
---|
Carlo Alberto Brusa, parfois désigné par ses initiales CAB et surnommé L'avocat des footballeurs, est un avocat italien à la cour de Paris[1], notamment connu lors de la pandémie de Covid-19 pour ses positions en 2020 et 2021 contre le port du masque, les restrictions de liberté et la vaccination.
Le football représente environ 20 % de son activité[2]. Au cours de sa carrière, il défend plusieurs personnalités de ce sport, à l'image de Zinédine Zidane[3], Didier Deschamps[4], Jérémy Ménez[5], Laurent Blanc[6] ou encore Marcelo Bielsa[7]. Mais c'est surtout sa défense de Franck Ribéry lors de l'affaire Zahia qui le propulse sur le devant de la scène médiatique[8].
Parmi ses clients, il compte également le docteur Jean-François Sztermer[9], condamné dans l'affaire des surirradiés d'Épinal, le rubgyman Melvyn Jaminet, suspendu pour des propos racistes[10], et l'animateur de télévision et agent immobilier Stéphane Plaza, poursuivi pour des violences contre deux ex-compagnes[11].
En 2006, il se présente aux élections parlementaires italiennes sur une liste de Forza Italia, le parti de Silvio Berlusconi[2],[12]. Il est candidat à la députation dans la répartition Europe (it) de la circonscription des Italiens de l'étranger (en)[13]. En 2013, il s'y représente, mais cette fois sous l'étiquette du Mouvement associatif des Italiens à l'étranger (MAIE)[14], dont il est le responsable parisien[15].
Il se définit comme en « partie à gauche car il vient d'en bas » et en « partie à droite car il est conservateur »[2].
En 2019, il prend une position sur le média Russia Today en faveur du mouvement des Gilets jaunes[1]. En , il fonde Réaction 19, une association à l'origine de plusieurs plaintes contre les masques ou les vaccins[16], se positionnant ainsi au sein des mouvements d'opposition aux mesures de lutte contre la pandémie de Covid-19[17]. Il est également un opposant au passe sanitaire français dont il est considéré comme une figure principale de sa contestation avec Fabrice Di Vizio[18].
En , Carlo Alberto Brusa devient l'avocat des producteurs du film conspirationniste Hold-up. Par ailleurs, il a été l'avocat de Martine Wonner, et a contribué directement à la désinformation sur la pandémie de Covid-19, notamment à propos des masques et des vaccins[19],[20]. Par exemple, Carlo Alberto Brusa prétend que les codes QR, utilisés pour les pass sanitaires, ont été créés à l'origine par les services de renseignement israéliens (Mossad)[21]. De même, dans une publication partagée sur le réseau Twitter, il prétend que la vaccination a entraîné près d'1,4 million d'effets secondaires indésirables, en citant de façon inexacte des chiffres du site EudraVigilance de l'Agence européenne des médicaments, qui recense les effets indésirables des médicaments[22].
Le , il dépose un recours devant le Conseil constitutionnel pour contester la légalité du second tour de l'élection présidentielle, fondé notamment sur la « fraude constatée publiquement dans la gestion informatique et le décompte des voix »[23]. Selon Le Monde, il motive notamment sa démarche « sur la foi de soupçons fantaisistes autour de l’hébergement aux Etats-Unis des données électorales »[24].