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Type |
Musée d'art, institution patrimoniale (en) |
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Ouverture |
1960 |
Site web |
(de) www.buehrle.ch |
Architectes | |
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Protection |
Bien culturel suisse d'importance nationale (d) |
Pays |
Suisse |
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Division administrative | |
Commune | |
Coordonnées |
La Fondation et Collection Emil G. Bührle est une collection privée d'art à Zurich. La fondation a été créée en 1960 par la famille du collectionneur d'art Emil Georg Bührle (1890-1956) après le décès de celui-ci.
Le musée, installé dans une villa de 1886 située juste à côté de l'ancienne résidence d'Emil Bührle, présente principalement, à côté de sculptures en bois médiévales et de toiles de grands maîtres du passé, tel que El Greco, des œuvres de peintres impressionnistes et modernes du XIXe et du XXe siècle.
En 2006, le rapprochement avec le Kunsthaus de Zurich devient évident et le braquage de 2008 active les démarches juridiques. Environ 170 œuvres d'art de la fondation sont en dépôt au Kunsthaus de Zurich depuis l'automne 2021[1].
Le conservateur du musée est M. Lukas Gloor.
La Fondation Bührle a été confrontée à plusieurs demandes de restitution concernant les œuvres d'art spoliées par les Nazi ou vendues sous la contrainte[2]. La publication de Schwarzbuch Buehrle. Raubkunst für das Kunsthaus Zürich? par Thomas Buomberger et Guido Magnaguagno en 2015, a notamment relancé la controverse concernant les acquisitions d'œuvres dont les anciens propriétaires étaient des collectionneurs juifs spoliés[3].
Le quatre tableaux d'une valeur de 180 millions de francs suisses sont volés :
Le le gardien du parking de la clinique psychiatrique de Burghölzli a trouvé deux tableaux sur le siège arrière d'une voiture, Le Champ de coquelicots près de Vétheuil et Branches de marronnier en fleur. La Police municipale déclare ne pas avoir connaissance d'une rançon en échange des deux tableaux[4]. En , la police serbe retrouve en Serbie le tableau Le Garçon au gilet rouge de Paul Cézanne[5] et le quatrième tableau quelque temps plus tard, légèrement endommagé. Trois hommes sont arrêtés dans cette affaire.
« La Fondation Bührle a en effet été confrontée à un autre cas de demande de restitution concernant La Sultane (Manet) dont le propriétaire, Max Silberberg, s’est défait dans des conditions troubles en 1937, avant de périr à Auschwitz. »