Gouvernement Gabriel Attal
Gouvernement Gabriel Attal
Ve République
Gabriel Attal en 2023.
Composition initiale
Coalition |
Ensemble (RE - MoDem - HOR - PRV) |
Ministres |
29 (13 ministres et 16 ministres délégués) |
Secrétaires d'État |
5 |
Femmes |
18 |
Hommes |
16 |
Moyenne d'âge |
48 ans |
Élisabeth Borne
Le gouvernement Gabriel Attal est le gouvernement de la République française depuis le 9 janvier 2024. Il s'agit du quarante-quatrième gouvernement de la Ve République.
Formation
Contexte
Après plusieurs semaines d'agitation médiatique quant à la possibilité d'un remaniement ministériel,,, Élisabeth Borne remet, le 8 janvier 2024, la démission de son gouvernement à Emmanuel Macron, qui l'accepte. Gabriel Attal, jusqu'alors ministre de l'Éducation nationale, est nommé Premier ministre le lendemain.
Une première liste de nominations, concernant les titulaires des ministères de plein exercice ainsi que les ministres délégués auprès du Premier ministre, est annoncée par Alexis Kohler le 11 janvier 2024.
Cette liste est complétée le 8 février 2024 par la nomination de ministres délégués et de secrétaires d'État,.
Comparaison avec le gouvernement précédent
Aucun ministre du gouvernement précédent issu de la gauche (Clément Beaune, Olivier Véran, Olivier Dussopt, Rima Abdul Malak, Stanislas Guerini, Roland Lescure, Fadila Khattabi et Patrice Vergriete) n'est reconduit lors de la première vague de nominations. Sylvie Retailleau est reconduite malgré son opposition au projet de loi immigration récemment adopté.
Plusieurs médias évoquent alors une « droitisation » du gouvernement voire le retour du sarkozysme en raison de l'important nombre de ministres qui ont participé à la présidence de Nicolas Sarkozy,,,, ainsi que la fin du « en même temps »,,,,.
Le nombre total de membres du gouvernement est drastiquement réduit, passant de 41 à 15 (en comptant le premier ministre) par rapport au dernier remaniement de juillet 2023, ce qui en fait le gouvernement le plus petit de la Ve République. L’Élysée explique cette réduction par une recherche d'efficacité et d'agilité.
Cependant, le 8 février 2024, après une vague de nomination de ministres délégués et de secrétaires d'État, le gouvernement passe de 15 membres à 35 membres (1 premier ministre, 13 ministres, 16 ministres délégués et 5 secrétaires d'État). Initialement nommée ministre de l'Éducation en plus de son portefeuille des Sports, Amélie Oudéa-Castéra est rétrogradée au sport uniquement après plusieurs polémiques.
Composition initiale
Premier ministre
Premières nominations en janvier 2024
Ministres
Ministres délégués
Seconde de nominations et modifications en février 2024
Ministres
Ministres délégués
Secrétariat d'État
Galerie du gouvernement
Premier ministre
Ministres
Ministres délégués
Portrait
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Fonction
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Ministre de tutelle
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Nom
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Parti ou nuance
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Ministre déléguée chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement
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Premier ministre, chargé de la Planification écologique et énergétique
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Prisca Thevenot
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RE
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Ministre déléguée chargée des Relations avec le Parlement
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Marie Lebec
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RE
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Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations
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Aurore Bergé
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RE
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Ministre délégué chargé de l'Industrie et de l'Énergie
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Ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique
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Roland Lescure
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RE
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Ministre déléguée chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation
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Olivia Grégoire
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RE
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Ministre délégué chargé des Comptes publics
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Thomas Cazenave
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RE
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Ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité
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Ministre de l'Intérieur et des Outre-mer Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
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Dominique Faure
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PRV
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Ministre déléguée chargée des Outre-mer
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Ministre de l'Intérieur et des Outre-mer
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Marie Guévenoux
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RE
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Ministre déléguée chargée de l'Enfance, de la Jeunesse et des Familles
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Ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités Ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse Garde des Sceaux, ministre de la Justice
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Sarah El Haïry
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MoDem
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Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées
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Ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités
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Fadila Khattabi
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RE
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Ministre délégué chargé de la Santé et de la Prévention
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Frédéric Valletoux
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HOR
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Ministre déléguée sans portefeuille
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Ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire
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Agnès Pannier-Runacher
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RE-TdP
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Ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l'Attractivité, de la Francophonie et des Français de l'étranger
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Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères
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Franck Riester
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RE
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Ministre délégué chargé de l'Europe
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Jean-Noël Barrot
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MoDem
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Ministre délégué chargé des Transports
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Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
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Patrice Vergriete
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DVG
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Ministre délégué chargé du Logement
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Guillaume Kasbarian
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RE
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Secrétaires d'État
Représentativité
Parité
Si la parité au gouvernement est numériquement respectée, avec sept femmes et huit hommes (en comptant le Premier ministre), les ministères régaliens sont tous occupés par des hommes et seuls 4 ministères de plein exercice sur 11 sont occupés par des femmes,,. Stéphane Séjourné succède en effet à Catherine Colonna, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, seule femme du gouvernement précédent à être à la tête d'un ministère régalien.
Après la seconde vague de nominations, la parité n'est toujours pas respectée chez les ministres de plein exercice (cinq femmes et huit hommes) mais le reste dans le gouvernement au complet (18 femmes et 17 hommes). Chez les secrétaires d’État, les femmes sont quatre sur les cinq postes.
Origine géographique
L'origine géographique des membres du gouvernement fait l'objet de critiques, qui pointent la surreprésentation de Paris et de l'Île-de-France au sein de l'origine des ministres,. François Bayrou, chef d'un des partis composant la majorité présidentielle, pointe ainsi qu'« Il n’y a qu’à regarder la composition du gouvernement : sur les quatorze ministres de plein exercice, onze sont Parisiens ou Franciliens. Pas un seul ne vient du sud de la Loire ».
Relations avec le Parlement
Après le discours de politique générale, le gouvernement ne se soumet pas au vote de confiance, comme sa prédécesseur, Élisabeth Borne.
Motions de censure
Détails des motions de censure déposées à l'encontre du gouvernement Gabriel Attal (depuis 2024)
Date du vote
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Outil et contexte
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Groupe
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NI
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Résultat
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GDR
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LFI
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ECO
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SOC
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RE
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DEM
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HOR
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LIOT
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LR
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RN
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5 fév. 2024
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article 49 al. 2
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18
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69
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18
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18
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0
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0
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0
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0
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0
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0
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1
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124
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Rejetée
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Majorité absolue des membres de l'Assemblée nationale requise (289 voix en faveur lorsque l'assemblée est complète). Le ou les groupes signataires de la motion de censure sont identifiés en souligné.
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Notes et références
Notes
- Membre des Républicains jusqu'à l'annonce de sa nomination, qui provoque son éviction par le président de ce parti, ainsi que le renvoi de son poste de présidente du conseil national
- Initialement nommée en janvier 2024 également ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse
Références
- « Emmanuel Macron va-t-il prochainement remanier son gouvernement ? », sur www.rtl.fr, 27 novembre 2023 (consulté le 9 janvier 2024).
- Olivier Beaumont, « « Ça risque de secouer fort » : après l’épisode de la loi Immigration, le remaniement dans toutes les têtes », sur leparisien.fr, 25 décembre 2023 (consulté le 9 janvier 2024).
- « Remaniement : Gabriel Attal et Bruno Le Maire favoris pour remplacer Élisabeth Borne à Matignon », sur Le Figaro, 4 janvier 2024 (consulté le 9 janvier 2024).
- « Mme Elisabeth Borne a remis ce jour la démission du Gouvernement au Président de la République, qui l'a acceptée. », sur elysee.fr, 8 janvier 2024 (consulté le 9 janvier 2024).
- Décret du 9 janvier 2024 portant nomination du Premier ministre.
- « Nomination du Gouvernement. », sur elysee.fr, 11 janvier 2024 (consulté le 12 janvier 2024).
- « Attal I : surprises, soulagement, soupe à la grimace », sur POLITICO, 12 janvier 2024 (consulté le 12 janvier 2024).
- « En direct, remaniement : Nicole Belloubet remplace Amélie Oudéa-Castéra à l’éducation nationale, le député Frédéric Valletoux à la santé », Le Monde.fr, 8 février 2024 (lire en ligne, consulté le 8 février 2024).
- « Gouvernement Attal : le choix de Macron, l’ombre de Sarkozy ? », sur France Culture, 14 janvier 2024 (consulté le 16 janvier 2024).
- « Rachida Dati à la Culture ou le retour fracassant d'une figure du sarkozysme », sur France 24, 11 janvier 2024 (consulté le 16 janvier 2024).
- « Gouvernement Attal : Rachida Dati, une sarkozyste surprise au ministère de la culture », La Croix, 11 janvier 2024 (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le 16 janvier 2024).
- « Gouvernement Attal : "Une reconstitution de la ligue sarkozyste dissoute", selon le président du groupe socialiste à l'Assemblée Boris Vallaud », sur Franceinfo, 12 janvier 2024 (consulté le 16 janvier 2024).
- « Un nouveau gouvernement droitisé, marqué par le maintien des poids lourds et la surprise Rachida Dati », sur Le Monde, 12 janvier 2012 (consulté le 12 janvier 2012).
- « Remaniement : un gouvernement de droite et, en même temps, de droite », sur L’Express, 12 janvier 2024 (consulté le 12 janvier 2024).
- « Gouvernement Attal : « Une bombe à fragmentation », une partie de la majorité effrayée par la droitisation de l'exécutif », sur 20 Minutes, 12 janvier 2024 (consulté le 12 janvier 2024).
- « Gouvernement Attal: «Un “pack” resserré et droitisé à la fois» », sur Le Figaro, 12 janvier 2024 (consulté le 12 janvier 2024).
- « VIDÉO. « Virage à droite », « surprise pour Rachida Dati » : l'analyse du remaniement », sur Ouest France, 12 janvier 2024 (consulté le 12 janvier 2024).
- « Remaniement : Catherine Vautrin, une transfuge de la droite expérimentée hérite du Travail, de la Santé et des Solidarités », Le Figaro, 11 janvier 2024 (lire en ligne, consulté le 22 mai 2022).
- « Un nouveau gouvernement droitisé, marqué par le maintien des poids lourds et la surprise Rachida Dati », Le Monde.fr, 12 janvier 2024 (lire en ligne, consulté le 8 février 2024).
- « Remaniement : « Un gouvernement très masculin », l’absence de femmes aux ministères régaliens critiquée », sur SudOuest.fr, 12 janvier 2024 (consulté le 8 février 2024).
- « Remaniement : les femmes absentes des ministères régaliens du gouvernement, une première depuis 2017 - France Bleu », sur ici, par France Bleu et France 3, 12 janvier 2024 (consulté le 8 février 2024).
- Isabelle Missiaen, « Catherine Colonna, dernière femme à un poste régalien, évincée du gouvernement », sur www.linternaute.com, 13 janvier 2024 (consulté le 8 février 2024).
- « Parité, âge, famille politique… Comment les gouvernements Macron ont évolué », sur Le Point, 9 février 2024 (consulté le 12 février 2024).
- « Remaniement: après le déjeuner Macron-Attal, les nouvelles nominations se font attendre », sur BFMTV (consulté le 8 février 2024).
- « Gouvernement Attal : un exécutif trop parisien ? », sur La Gazette des Communes (consulté le 8 février 2024).
- Yves-Marie Robin, « Après les critiques de François Bayrou envers le gouvernement, le MoDem est-il en train d’imploser ? », sur Ouest-France.fr, 8 février 2024 (consulté le 8 février 2024).
- « Comme Borne, Attal ne se pliera pas à cet usage à l’Assemblée nationale », sur Le HuffPost, 16 janvier 2024 (consulté le 8 février 2024).