Aujourd’hui, Josette Rispal est un sujet de plus en plus pertinent dans la société. Au fil du temps, nous avons vu comment Josette Rispal a gagné de la place dans différents domaines, de la politique au divertissement. Il est évident que Josette Rispal a généré un grand impact sur la façon dont nous vivons et interagissons avec le monde qui nous entoure. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Josette Rispal et son influence sur notre vie quotidienne, ainsi que les défis et opportunités qu'elle présente pour l'avenir.
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Fille d’Antonin Rispal et de Joséphine Ajalbert, elle grandit à Paris[réf. nécessaire]. Artiste autodidacte, son œuvre s’inscrit dans les mouvements d’art outsider et singulier.
En 1977, elle réalise ses premiers masques-lumière.[réf. nécessaire]
Elle réalise par la suite une cabane intitulée « la maison des Masques Lumière » qui est exposée au Grand Palais par le Salon National des Arts en 1983.[réf. nécessaire]
Par un contrat conclu avec la société des autoroutes du sud de la France, elle est chargée de la construction d'une statue monumentale sur une aire de l'A89 composée de sept stèles appelée "Les colosses arvernes"[1]. Toutefois, la société ASF abandonne le projet car celui-ci ne plaisait pas au conseil général de la Corrèze. Jugée irrecevable de ses demandes devant le juge judiciaire, elle forme un recours devant le tribunal administratif de Paris, puis élève le conflit devant le Tribunal des conflits qui rendra un arrêt[2]Mme Rispal c/ ASF[3].
Le , Antonin Rispal, son père, meurt. Il lui lègue une très grande collection d’Art nouveau. Deux ans après son décès, Josette Rispal décide d’offrir au musée d’Orsay près de trois cents meubles et objets[4].
En 2009, elle offre 250 œuvres à la tour Eiffel. Une exposition lui sera consacrée au premier étage de la tour Eiffel[7].
En 2014, une exposition met à l’honneur les « Obsidiens en mouvement »[8].
En 2016, elle expose une œuvre intitulée l'Humanité dans l'église de la Madeleine une œuvre composée de multiples personnages de forme humaine qui vise à représenter des individus sans différences et de toutes origines[9].
(it) Egidio Costantini, Vetro, un amore : La Fucina degli Angeli, 1948-1992, Editions Fucina degli Angeli, Museo d'Arte Moderna di Ca' Pesaro, Venise, 1992, 60p.
Professeur Joseph Philippe, Sculptures contemporaines en cristal et en verre des 15 Pays de la Communauté Européenne, Catalogue de l'exposition Liège et Luxembourg, éditions Générale de Banque, 1993.
Daniel Georges Marie, Antoine de Vial, Andrew Pockett, Église Saint-Pierre du Gros Caillou : Histoire d’une paroisse de Paris des origines à nos jours, Ed. Centre culturel du Gros-Caillou, Paris, 1995, 311p.
Simon Texier, Églises parisiennes du XXe siècle, Éditions Action Artistique de la Ville de Paris, coll. « Paris et son patrimoine », Paris, 1996, 246p. (ISBN2-905118-86-5)
(it) Ermes Dorigo, Egidio Costantini il maestro dei maestri : Sculture d'arte in vetro, Éditions Andrea Moro, 1999, 99p.
(fr + en) Emmanuel Bénézit (sous la direction de Jacques Busse), Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, Éditions Gründ, Paris, 1999, vol. 11.
Le Pluriel des singuliers "Espace 13" (catalogue), Galerie d'Art du Conseil général des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence, Éditions Acte sud, Arles, 2001.
Laurent Danchin, Martine Lusardy, Aux frontières de l'art brut 2, La Halle Saint-Pierre, Paris, 2001.
Serge Vinçon, Maurice Blanchot et Marie Christine Planchard, Le Monde Enchanté de Josette Rispal, Catalogue d'exposition, Cher, Musée Saint-Vic, Saint-Amand-Montrond (Cher), 2000, 56p.
Jean-François Larrieu, Le centenaire du salon d'automne, Casta Diva, 2003, Paris, 550p.
(pt) Richard Treger et Antonio Saint Silvestre, Arte bruta, terra incognita, catalogue d’exposition de la collection Treger-Saint Sylvestre à la Fondation Arpad-Szenses, Viera Da Silva (Portugal)
(pt + en) Ricardo Figueiredo, Antonio Saint-Silvestre, Richard Treger, Figurativos, Misticos, Revolucionarios, Editions Cámara Municipal de S. João da Madeira (Portugal), 2014, Catalogue.
Alin Avila, Constellation Rispal, Éditions Area, Paris, 2018, 240p, (Dont tirage de tête numéroté 1/50, pièce unique, sculpture en verre et obsidienne de 20 cm de hauteur) (ISBN978-2-35276-113-6)
(fr + en) Christophe Boïcos, Le Salon d'Automne à travers ses affiches de 1903 à nos jours, Éditions Lelivredart, Paris, septembre 2019, 320p. (ISBN978-2-35532-334-8)