Les Adieux du Christ à sa mère

Dans le monde d'aujourd'hui, Les Adieux du Christ à sa mère est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large éventail de personnes. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de sa pertinence historique ou de son influence sur la culture populaire, Les Adieux du Christ à sa mère continue de capter l'attention de millions d'individus à travers le monde. Avec une histoire remontant à plusieurs siècles, Les Adieux du Christ à sa mère a évolué et s'est adapté aux changements et aux avancées de la société moderne. Dans cet article, nous explorerons en profondeur tout ce qui concerne Les Adieux du Christ à sa mère, de ses origines à son impact actuel sur différents aspects de la vie quotidienne.

Les Adieux du Christ à sa mère
Artiste
Date
Type
Matériau
huile sur panneau de bois (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Dimensions (H × L)
141 × 111 cmVoir et modifier les données sur Wikidata
No d’inventaire
NG6463Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation

Les Adieux du Christ à sa mère ou Le Christ prenant congé de sa mère est une peinture réalisée à en peinture à l'huile sur panneau de bois par l'artiste allemand Albrecht Altdorfer vers 1520. Elle est conservée à la National Gallery de Londres[1].

Thème

L'Adieu du Christ à sa mère est un sujet d'art chrétien fréquent en Europe du Nord aux XVe et XVIe siècles, représentant le Christ prenant congé de sa mère Marie avant de la quitter pour son dernier voyage à Jérusalem qui le conduira à sa Passion et à sa mort. Cette scène, non présente dans les Évangiles, marque le début de la Passion.

Description

Altdorfer présente ici un groupe des figures les plus importantes du Nouveau Testament. Dans la partie centrale, Jésus bénit sa Mère. Le geste de sa main est de calmer le reste des femmes qui pleurent les événements à venir. Parmi les femmes, à part la Vierge évanouie, vêtue d'une robe bleu marine, se trouvent Marie Jacobé, mère de Jacques qui l'embrasse, Marie Madeleine agenouillée, Marie de Cléophas et Salomé. Sur la droite, saint Pierre et saint Jean semblent plus en paix avec le destin futur du Christ. Tous les personnages sont représentés d'une manière très terrestre, et leurs émotions sont exprimées à travers des corps anormalement allongés, de grands pieds, des gestes de la main et la simplicité des visages. Altdorfer a complètement ignoré les règles de forme, de perspective et de proportion. Le paysage, divisé en deux parties, s'harmonise avec l'ambiance de la scène. À gauche, on distingue les branches rabougries d'un arbre desséché symbolisant la Passion du Christ, à droite, la végétation luxuriante annonce la Nouvelle Alliance.

En bas du tableau, à droite, des figures miniatures des donateurs du peintre sont visibles.

Source

Notes et références

Liens externes