Ligne de Strasbourg-Ville à Saint-Louis

Ligne de
Strasbourg-Ville à Saint-Louis (Bâle)
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Carte de la ligne Voir l'illustration.
Vue depuis le quai en direction de Strasbourg (ou Colmar), en gare de Bollwiller.

Carte de l'Alsace

StrasbourgStrasbourgStrasbourg GraffenstadenGraffenstaden GeispolsheimGeispolsheim Fegersheim - LipsheimFegersheim - Lipsheim LimersheimLimersheim ErsteinErstein MatzenheimMatzenheim BenfeldBenfeld KogenheimKogenheim EbersheimEbersheim SélestatSélestatSélestat Saint-HippolyteSaint-Hippolyte RibeauvilléRibeauvillé Ostheim - BeblenheimOstheim - Beblenheim BennwihrBennwihr ColmarColmarColmar EguisheimEguisheim Herrlisheim-près-ColmarHerrlisheim-près-Colmar RouffachRouffach MerxheimMerxheim RaedersheimRaedersheim BollwillerBollwiller StaffelfeldenStaffelfelden WittelsheimWittelsheim RichwillerRichwiller LutterbachLutterbach Mulhouse-DornachMulhouse-Dornach MulhouseMulhouseMulhouse RixheimRixheim HabsheimHabsheim SchlierbachSchlierbach SierentzSierentz BartenheimBartenheim Saint-Louis-la-ChausséeSaint-Louis-la-Chaussée St-LouisSt-LouisSt-Louis Bâle-Saint-JeanBâle-Saint-Jean BâleBâleBâle

Carte de la ligne
Pays Drapeau de la France France,
Drapeau de la Suisse Suisse
Villes desservies Strasbourg, Sélestat, Colmar, Mulhouse, Saint-Louis, Bâle
Historique
Mise en service 1840 – 1844
Électrification 1957
Concessionnaires Strasbourg – Bâle (1840 – 1854)
Est (1854 – 1871)
EL (1871 – 1919)
AL  (1919 – 1937)
SNCF (1938 – 1997)
RFF (1997 – 2014)
SNCF (depuis 2015)
Caractéristiques techniques
Numéro officiel 115 000
(ancienne ligne 3 SNCF région Est)
Longueur 142,193 km
Vitesse de référence 220 km/h
Écartement standard (1,435 m)
Électrification 25 kV – 50 Hz
Nombre de voies 2 ou 3
(Anciennement à double voie)
Signalisation BAL, KVB, ETCS 1
Trafic
Propriétaire SNCF
Exploitant(s) SNCF
Trafic TGV Lyria, TGV inOui
TER (dont TER 200)
Fret
Schéma de la ligne

La ligne de Strasbourg-Ville à Saint-Louis (Bâle), parfois appelée « ligne de Strasbourg à Bâle » ou « ligne de la plaine d'Alsace », est une ligne ferroviaire française du Bas-Rhin et du Haut-Rhin. Elle relie les gares de Strasbourg-Ville et de Saint-Louis et se poursuit jusqu'à Bâle, en Suisse. Elle dessert notamment Colmar et Mulhouse. La courte section après la frontière franco-suisse est exploitée par la SNCF.

Elle est mise en service par tronçons de 1840 à 1844, par la Compagnie du chemin de fer de Strasbourg à Bâle. Bien que datant des premiers temps du chemin de fer, elle dispose de caractéristiques très modernes comme l'absence totale de passage à niveau et un tracé comportant de longues sections rectilignes qui permet d'atteindre des vitesses élevées, en particulier entre Strasbourg et Mulhouse.

Elle constitue la ligne no 115 000 du réseau ferré national.

Dans l'ancienne nomenclature de la région Est de la SNCF, elle était numérotée « ligne 3 », plus précisément désignée en tant que section de la « ligne (Luxembourg) Zoufftgen - Bâle » (les lignes de Réding à Metz-Ville et de Metz-Ville à Zoufftgen étant numérotées « ligne 3 Nord »).

Histoire

La ligne est concédée à Messieurs Nicolas Koechlin et frères par une loi du 6 mars 1838.

Dès sa création en 1839, la ligne a été conçue à double voie. Après l'annexion de 1870, elle a été intégrée au réseau de la Kaiserliche Generaldirektion der Eisenbahnen in Elsaß-Lothringen et sa circulation est depuis restée à droite comme pour le reste du réseau ferroviaire d'Alsace-Lorraine qui y avait été converti. Il a été envisagé lors de sa jonction avec la ligne de Paris à Strasbourg de la basculer en circulation à gauche mais cela n'a pas été fait.

Les étapes de l'ouverture de la ligne sont les suivantes :

Une convention passée le 17 août 1853, entre le ministre des Travaux publics et la compagnie du chemin de fer de Paris à Strasbourg, prévoit la subrogation de la compagnie Paris à Strasbourg à celle de Strasbourg à Bâle. Cette convention est approuvée par un décret impérial à la même date.

Le 16 janvier 1854, la Compagnie du chemin de fer de Paris à Strasbourg devient la Compagnie des chemins de fer de l'Est, dont les statuts sont approuvés le 21 janvier 1854.

Une convention signée entre le ministre des Travaux publics et la compagnie des chemins de fer de l'Est, le 20 avril 1854, approuve la fusion de compagnie du chemin de fer de Strasbourg à Bâle avec la compagnie des chemins de fer de l'Est. Cette convention est approuvée par décret impérial à la même date.

Depuis l'ouverture de la ligne, de nombreux trains de prestige se sont succédé sur cet itinéraire :

La ligne a été électrifiée de Strasbourg à Saint-Louis en 25 kV – 50 Hz, le 2 juin 1957. Le 26 octobre de la même année, le tronçon Saint-Louis – Bâle était électrifié lui aussi en 25 kV – 50 Hz, avec la mise en service de voies commutables 25 kV – 50 Hz / 15 kV – 16,66 Hz (modifié ultérieurement en 16,7 Hz) en gare de Bâle.

En 1972, la SNCF réalise des essais à grande vitesse entre Strasbourg et Mulhouse, avec le TGV 001 : les 240 km/h sont atteints en mai. Puis, de 1978 à 1980, les deux rames TGV Sud-Est de présérie (nos 01 et 02, surnommées « Patrick » et « Sophie »), sont testées entre Strasbourg et Colmar, où des éléments de signalisation de LGV ont été installés : les 260 km/h (soit la vitesse d'exploitation commerciale prévue à la mise en service de la LGV Sud-Est, alors en construction) sont atteints, notamment avec la traversée de la gare de Sélestat à cette vitesse.

Entre 2007 et 2009, une troisième voie a été posée sur 16,6 kilomètres, entre les gares de Fegersheim et de Benfeld. Il s'agit en fait de deux tronçons de dépassement longs installés de part et d'autre de la gare d'Erstein. Entre Fegersheim et Erstein, la voie d'une longueur de 9,5 kilomètres permet aux trains en direction de Strasbourg de se dépasser. Entre Erstein et Benfeld, la nouvelle voie de 7,1 kilomètres permet le dépassement des trains en direction de Sélestat et Mulhouse. Les travaux, d'un montant de 93 millions d'euros, ont été financés dans le cadre du contrat de Projets 2007-2013 par l'État (32 %), la région Alsace (54 %) et Réseau ferré de France (14 %). Ils ont été inaugurés le 12 décembre 2009.

Dans le cadre des corridors européens de fret ferroviaire, la ligne dispose depuis 2022 de la signalisation ETCS 1, qui permet une meilleure interopérabilité entre les pays. Cette signalisation aurait à l'origine dû être installée pour 2018.

Caractéristiques

Tracé

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Équipements et signalisation

À l'image de toutes les lignes de la région, la ligne était autrefois dotée de la signalisation mécanique Alsace-Lorraine (BAMU), d'une conception assez proche de la signalisation allemande.

À la suite de la mise en service du TER 200 au début des années 1990, la signalisation a dû être modernisée pour permettre la circulation à 200 km/h (puis 220 km/h pour les TGV). Ainsi, la SNCF, avec l'aide de la région Alsace, a installé une signalisation de type block automatique lumineux (BAL) avec la pré-annonce par le KVB (nécessaire pour la circulation au-dessus de 160 km/h).

Toujours dans le dessein d'améliorer la fiabilité et la flexibilité du service, des installations permanentes de contre-sens (IPCS) sont disposées aux endroits stratégiques de la ligne. En effet, si le sens conventionnel de circulation est bien à droite dans cette région (à gauche dans les autres régions de France), il arrive régulièrement que les trains circulent à gauche en raison de travaux en cours ou d'un incident sur la ligne.

Le trafic voyageurs étant en augmentation constante et les trains de fret demeurant nombreux, la capacité de la ligne atteint ses limites, et Réseau ferré de France (le gestionnaire de l'infrastructure de 1997 à fin 2014) a décidé, avec les collectivités locales, d'ajouter une troisième voie entre Fegersheim et Benfeld, soit 16 kilomètres.

La ligne fait partie du Corridor européen C (Anvers – Bâle / Lyon) et est équipée de l'ETCS niveau 1 depuis 2022.

Gares

Les six gares les plus importantes, qui sont desservies par la totalité des TER (notamment les TER 200), sont :


Liste des gares de la ligne, avec géolocalisations
Gare Service(s) Nombre annuel de voyageurs
(en 2017),
Coordonnées Commune
  o   Strasbourg-Ville Voyageurs (TGV, grandes lignes, TER)
Fret
19 423 501 48° 35′ 07″ N, 7° 44′ 03″ E Strasbourg
  o   Strasbourg-Koenigshoffen (Fermée) 48° 34′ 56″ N, 7° 42′ 38″ E Strasbourg
  o   Graffenstaden Voyageurs (TER)
Fret
28 912 48° 31′ 58″ N, 7° 41′ 25″ E Geispolsheim
  o   Geispolsheim Voyageurs (TER) 69 622 48° 31′ 16″ N, 7° 41′ 06″ E Geispolsheim
  o   Fegersheim - Lipsheim Voyageurs (TER) 141 073 48° 29′ 28″ N, 7° 40′ 21″ E Lipsheim
  o   Limersheim Voyageurs (TER) 88 136 48° 27′ 39″ N, 7° 39′ 35″ E Hipsheim
  o   Erstein Voyageurs (TER) 525 486 48° 25′ 23″ N, 7° 38′ 20″ E Erstein
  o   Matzenheim Voyageurs (TER) 33 544 48° 23′ 56″ N, 7° 37′ 11″ E Matzenheim
  o   Benfeld Voyageurs (TER) 486 710 48° 22′ 25″ N, 7° 35′ 03″ E Benfeld
  o   Kogenheim Voyageurs (TER) 26 817 48° 20′ 20″ N, 7° 32′ 07″ E Kogenheim
  o   Ebersheim Voyageurs (TER) 13 195 48° 18′ 36″ N, 7° 29′ 40″ E Ebersheim
  o   Sélestat Voyageurs (TGV, TER)
Fret
2 217 910 48° 15′ 36″ N, 7° 26′ 35″ E Sélestat
  o   Saint-Hippolyte (Haut-Rhin) (Fermée) 48° 13′ 18″ N, 7° 24′ 09″ E Saint-Hippolyte
  o   Ribeauvillé (Fermée) 48° 11′ 14″ N, 7° 22′ 32″ E Guémar
  o   Ostheim - Beblenheim (Fermée) 48° 09′ 34″ N, 7° 21′ 37″ E Ostheim
  o   Bennwihr (Fermée) 48° 07′ 50″ N, 7° 21′ 22″ E Bennwihr
  o   Colmar Voyageurs (TGV, TER)
Fret
3 871 236 48° 04′ 21″ N, 7° 20′ 48″ E Colmar
  o   Eguisheim (Fermée) 48° 02′ 21″ N, 7° 19′ 26″ E Eguisheim
  o   Herrlisheim-près-Colmar Voyageurs (TER) 56 493 48° 01′ 00″ N, 7° 19′ 15″ E Herrlisheim-près-Colmar
  o   Rouffach Voyageurs (TER) 198 867 47° 57′ 37″ N, 7° 18′ 45″ E Rouffach
  o   Merxheim Voyageurs (TER) 51 771 47° 54′ 47″ N, 7° 18′ 09″ E Merxheim
  o   Raedersheim Voyageurs (TER) 48 062 47° 53′ 13″ N, 7° 17′ 03″ E Raedersheim
  o   Bollwiller Voyageurs (TER) 260 967 47° 51′ 25″ N, 7° 16′ 02″ E Bollwiller
  o   Staffelfelden Voyageurs (TER) 68 285 47° 49′ 39″ N, 7° 15′ 55″ E Staffelfelden
  o   Wittelsheim (Fermée) 47° 49′ 02″ N, 7° 15′ 51″ E Wittelsheim
  o   Richwiller Fret 47° 47′ 12″ N, 7° 15′ 44″ E Richwiller
  o   Lutterbach Voyageurs (tramway et tram-train, TER)
(uniquement sur la ligne de Lutterbach à Kruth)
47 464 47° 45′ 30″ N, 7° 16′ 37″ E Lutterbach
  o   Mulhouse-Musées Voyageurs (tramway et tram-train)
(uniquement sur la liaison avec la ligne de Lutterbach à Kruth)
47° 45′ 01″ N, 7° 17′ 54″ E Mulhouse
  o   Mulhouse-Dornach Voyageurs (tramway et tram-train, TER)
Fret
174 303 47° 44′ 49″ N, 7° 18′ 30″ E Mulhouse
  o   Zu-Rhein Voyageurs (tramway et tram-train)
(uniquement sur la liaison avec la ligne de Lutterbach à Kruth)
47° 44′ 38″ N, 7° 19′ 00″ E Mulhouse
  o   Mulhouse-Ville Voyageurs (TGV, TER)
Fret
4 967 456 47° 44′ 32″ N, 7° 20′ 34″ E Mulhouse
  o   Rixheim Voyageurs (TER) 196 826 47° 44′ 56″ N, 7° 24′ 23″ E Rixheim
  o   Habsheim Voyageurs (TER) 228 013 47° 44′ 11″ N, 7° 25′ 10″ E Habsheim
  o   Schlierbach (Détruite) 47° 41′ 21″ N, 7° 26′ 24″ E Schlierbach
  o   Sierentz Voyageurs (TER) 256 527 47° 39′ 22″ N, 7° 27′ 33″ E Sierentz
  o   Bartenheim Voyageurs (TER) 145 838 47° 38′ 06″ N, 7° 29′ 15″ E Bartenheim
  o   Saint-Louis-la-Chaussée Voyageurs (TER) 59 651 47° 36′ 34″ N, 7° 31′ 52″ E Saint-Louis
  o   Saint-Louis (Haut-Rhin) Voyageurs (TER)
Fret
1 190 267 47° 35′ 26″ N, 7° 33′ 21″ E Saint-Louis
  o   Saint-Louis
(ancienne gare)
(Détruite) 47° 35′ 08″ N, 7° 33′ 38″ E Saint-Louis

(Les gares en italique sont celles désaffectées, celles en gras sont des gares de bifurcation.)
Dans le prolongement de cette ligne, au-delà de Saint-Louis et de la frontière franco-suisse 47° 34′ 39″ N, 7° 34′ 04″ E, se situent les gares de Bâle-Saint-Jean 47° 34′ 13″ N, 7° 34′ 22″ E, Bâle SNCF 47° 32′ 53″ N, 7° 35′ 17″ E et Bâle CFF 47° 32′ 51″ N, 7° 35′ 23″ E.

 

Vitesses limites

En 2012, la vitesse limite autorisée, pour les TGV sur la voie 1, est de 130 km/h entre Strasbourg-Ville et le PK 4,0, de 220 km/h jusqu'à Richwiller (excepté la traversée de la gare de Colmar, où elle est de 200 km/h), puis de 200 km/h jusqu'à Mulhouse-Ville. De Mulhouse-Ville au PK 112,0, elle se limite à 130 km/h, puis 160 km/h jusqu'au PK 114,8, atteint 200 km/h jusqu'au PK 133,6, avant de se réduire à 160 km/h jusqu'à Saint-Louis et enfin à 130 km/h jusqu'à la frontière suisse (PK 136,9).

La vitesse est limitée à 120 km/h sur la voie 1 ter, pour tous les types de trains de voyageurs, du PK 20,4 au PK 27,4.

Trafic

Voyageurs

La ligne est parcourue par :

La relation TER Strasbourg – Bâle transporte quotidiennement 30 000 voyageurs. Par ailleurs, la ligne fait partie des 27 % du réseau ferré national sur lesquels se concentre 80 % du trafic voyageurs.

Fret

Article connexe : Nouvelles lignes ferroviaires à travers les Alpes.

Un intense trafic marchandises s'est également développé, assuré par Fret SNCF, la Deutsche Bahn (en collaboration avec la SNCF) ou des opérateurs privés.

Notes et références

  1. Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau ferré français, édité par La Vie du Rail en août 2011 (ISBN 978-2-918758-34-1), vol. 1, p. 66.
  2. SNCF Région de l'Est – Carnet de profils et schémas – 1962 ; cf. les planches 31 à 35 (notamment), pp. 23, 24, 25 du PDF (consulté le 20 novembre 2022).
  3. « No 7302 – Loi qui autorise l'établissement d'un chemin de fer de Strasbourg à Bâle : 6 mars 1838 », Bulletin des lois du royaume de France, Paris, Imprimerie royale, IX, vol. 16, no 559,‎ 1838, p. 81-97 (lire en ligne).
  4. De l'exploitation des chemins de fer, p. 132, François Prosper Jacqmin, 1867.
  5. Alexander Rechsteiner, « La toute première voie ferrée de Suisse », sur swissinfo.ch, 19 novembre 2022 (consulté le 20 novembre 2022).
  6. « No 806 – Décret impérial relatif à la concession d'un chemin de fer de Paris à Mulhouse, avec embranchement sur Coulommiers, d'un chemin de fer de Nancy à Gray et d'un chemin de fer de Paris à Vincennes, Saint-Mandé et Saint-Maur : 17 août 1853 », Bulletin des lois de l'Empire Français, Paris, Imprimerie Impériale, XI, vol. 2, no 94,‎ 1853, p. 531-557 (lire en ligne).
  7. « No 1519 – Décret impérial qui approuve la convention passée, le 20 avril 1854, entre le ministre de l'Agriculture, du Commerce et des travaux Publics, et la Compagnie des chemins de fer de l'Est : 20 avril 1854 », Bulletin des lois de l'Empire Français, Paris, Imprimerie Impériale, XI, vol. 3, no 177,‎ 1854, p. 1393-1398 (lire en ligne).
  8. Revue Chemins de Fer, éditée par l'AFAC, no 393 de 1988, p. 263.
  9. Maurice Testu, « En TGV à 260 km/h dans la plaine d'Alsace en janvier 1980 » , sur youtube.com, 31 octobre 2015 (consulté le 20 novembre 2022).
  10. Inauguration de la 3e voie Fegersheim-Erstein-Benfeld – 12 décembre 2009 (archive de rff.fr, consultée le 20 novembre 2022).
  11. « Fiches Travaux Alsace 2022 » Accès libre , sur SNCF Réseau, 10 mars 2022 (consulté le 24 février 2023)
  12. La Commission Européenne, « RÈGLEMENT D'EXÉCUTION (UE) 2017/6 DE LA COMMISSION du 5 janvier 2017 relatif au plan européen de déploiement du système européen de gestion du trafic ferroviaire » Accès libre , 5 janvier 2017 (consulté le 24 février 2023)
  13. Block Alsace-Moselle uniformisé
  14. « TER Transport Express Régional », sur region-alsace.eu via Wikiwix (consulté le 12 octobre 2023).
  15. Estimation, selon : SNCF, « Fréquentation en gares », sur data.sncf.com, 25 février 2019 (consulté le 13 mars 2019).
  16. Ces estimations tiennent compte de l'ensemble des voyageurs transitant dans ces gares. Dans le cas où ces dernières sont également implantées sur d'autres lignes, une partie du nombre de voyageurs indiqués n'a pas fréquenté la ligne de Strasbourg-Ville à Saint-Louis.
  17. SNCF Réseau, « Vitesse maximale nominale sur ligne », sur data.sncf.com, SNCF, 5 avril 2017 (consulté le 14 juillet 2017).
  18. Renseignements techniques (RT) SNCF / RFF.
  19. « Trains contre sangliers », article des DNA du 29 mars 2016.
  20. « Réforme de la SNCF : les « petites lignes » menacées, les usagers s'inquiètent », article du 20 février 2018 sur lefigaro.fr ; cf. la carte de France à la fin dudit article.

Voir aussi

Bibliographie

Page annexe

Articles connexes