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MBDB | |
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Structure du MBDB | |
Identification | |
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Nom UICPA | (RS)-1-(1,3-benzodioxol-5-yl)-N-méthylbutan-2-amine |
No CAS | (R,S) |
SMILES | |
InChI | |
Propriétés chimiques | |
Formule | C12H17NO2 [Isomères] |
Masse molaire[1] | 207,268 9 ± 0,011 6 g/mol C 69,54 %, H 8,27 %, N 6,76 %, O 15,44 %, |
Caractère psychotrope | |
Catégorie | Stimulant |
Mode de consommation |
Ingestion |
Autres dénominations |
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Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire. | |
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La MBDB (2-méthylamino-1-(3,4-méthylènedioxyphényl)butane) est une substance psychotrope aux propriétés stimulantes et hallucinogènes de la famille des phényléthylamines.
Il a été synthétisé par David Nichols.
Ses effets sont proches de la MDMA, moins rapides et moins intenses[2].
Selon son créateur, les effets hallucinogènes de cette molécule n'induisent pas d'hallucinations et se limitent à un effet entactogène[2].
Les usagers le rencontrent souvent involontairement sous la forme d'un comprimé généralement vendu comme de la MDMA.
Son mode consommation le plus courant est par voie orale.
Les effets durent 4 à 6 heures pour une dose de 120 à 150 mg[2].
La MBDB étant un produit psychotrope, il se peut que les effets ressentis ne soient pas agréables. On parle alors de bad trip.
Comme pour la plupart des « drogues de synthèse », la production s'effectue près des lieux de consommation grâce à la mise en œuvre de laboratoires clandestins mobiles.
La MBDB a été en France classée comme stupéfiant en 1996[3].