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Michel Alloncle | |
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Fonctions | |
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Sénateur français | |
– (17 ans, 11 mois et 28 jours) |
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Élection | 28 septembre 1980 |
Réélection | 24 septembre 1989 |
Circonscription | Charente |
Prédécesseur | Pierre Marcilhacy |
Successeur | Henri de Richemont |
Député français | |
– (9 ans, 8 mois et 22 jours) |
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Élection | 30 juin 1968 |
Réélection | 11 mars 1973 |
Circonscription | 3e de la Charente |
Législature | IVe et Ve (Cinquième République) |
Groupe politique | UDR |
Prédécesseur | Jean Valentin |
Successeur | André Soury |
Maire de Ruffec | |
– (18 ans) |
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Successeur | Bernard Charbonneau |
Conseiller général de la Charente | |
– (31 ans) |
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Circonscription | Canton de Ruffec |
Successeur | Bernard Charbonneau |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Champagne-Mouton, France |
Date de décès | (à 74 ans) |
Lieu de décès | Poitiers |
Nature du décès | infarctus |
Nationalité | Française |
Profession | Médecin, UDR - RPR |
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Michel Alloncle, né le à Champagne-Mouton (Charente) et mort le , est un homme politique français.
Il grandit dans une famille d'agriculteurs installée en Charente limousine. Après avoir effectué ses études secondaires au collège privé Saint-Paul à Angoulême, il entre en faculté de médecine à Bordeaux. Son internat achevé en 1956, il retourne s'installer en Charente, comme médecin généraliste, dans un premier temps, puis comme praticien à l'hôpital de Ruffec deux ans plus tard.
En 1959, il est élu au conseil municipal de Ruffec (Charente). En 1967, il devient conseiller général du canton de Ruffec et devient maire de Ruffec en 1971. En 1968, il est élu député de la 3e circonscription sous l'étiquette Union des démocrates pour la République. Il garde son mandat jusqu'en 1978, année à laquelle il est battu par le communiste André Soury. Il se consacre alors à ses mandats locaux et devient premier vice-président au conseil général de la Charente en 1977 et est élu conseiller régional de 1978 à 1986. Il est élu sénateur de la Charente le , réélu en 1989 et renonce à se représenter en 1998.
Il perd son mandat de maire en 1989 au profit de Bernard Charbonneau mais conserve son mandat de conseiller général jusqu'en 1998, date à laquelle il décide de se retirer de la scène politique.
Victime d'un infarctus, il décède à l'âge de 74 ans.