Dans cet article, nous explorerons en profondeur le sujet de Michel Massenet et son impact sur la société contemporaine. Michel Massenet a généré un débat entre experts et citoyens, générant des opinions contradictoires et des questions sur sa pertinence aujourd'hui. Tout au long de l’histoire, Michel Massenet a joué un rôle fondamental dans différents domaines, de la politique à la culture populaire, et son influence continue d’être palpable au quotidien. En ce sens, il est crucial d’analyser en détail les implications de Michel Massenet et comment son évolution a façonné notre façon de comprendre le monde qui nous entoure. De ses origines à sa situation actuelle, cet article cherche à fournir une perspective globale sur Michel Massenet et son importance dans la société contemporaine.
Directeur général de l'Administration et de la Fonction publique | |
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Conseiller d'État |
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Château de la Prévoté (d) |
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Institut de géopolitique des populations (d) |
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Distinctions |
Michel Massenet, né le à Brunstatt et mort le dans le 14e arrondissement de Paris[1],[2], est un essayiste et haut fonctionnaire français.
Michel Massenet naît le [3] de Marcel Massenet, polytechnicien, ingénieur général des mines et administrateur de sociétés, et de Jeanne Rodallec. Il épouse Béatrice Brejon de Lavergnée. Il est licencié en droit[4], diplômé de l'École libre des sciences politiques (section Économie publique, promotion 1946)[5] et ancien élève de l'École nationale d'administration. Il est nommé au Conseil d’État en 1951.
Ses prises de positions publiques en faveur de l'Algérie française lui permettent d’être remarqué par les gaullistes, notamment Michel Debré. En mars 1958, Massenet entre au cabinet du ministère de la Défense Nationale Jacques Chaban-Delmas puis du Ministre de l'Information Jacques Soustelle. En janvier 1959, il est nommé délégué de l'action sociale en faveur des Français Musulmans d’Algérie en métropole, rattaché au Premier Ministre. En 1964, à sa demande, son poste est élargi en une délégation à l'action sociale pour les travailleurs étrangers[6]. En 1966 il accède à la nouvelle direction de la population et des migrations rattachée au Ministère des Affaires Sociales[7]. Dans le cadre de ces fonctions, il est l'un des principaux acteurs de la résorption des bidonvilles en France[8]. En 1971, il quitte la direction de la population et des migrations pour devenir directeur général de l’administration et de la fonction publique.
Il enseigne à l'Institut d'études politiques de Paris[9].
En 2000, il cofonde, avec notamment Jacques Dupâquier et Yves-Marie Laulan, l'Institut de géopolitique des populations[10].