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Monica Macovei | |
![]() Monica Macovei en 2013. | |
Fonctions | |
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Députée européenne | |
– (9 ans, 11 mois et 17 jours) |
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Élection | 7 juin 2009 |
Réélection | 25 mai 2014 |
Législature | 7e et 8e |
Groupe politique | PPE (2009-2015) CRE (depuis 2015) |
Ministre de la Justice | |
– (2 ans, 3 mois et 7 jours) |
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Président | Traian Băsescu |
Premier ministre | Călin Popescu-Tăriceanu |
Gouvernement | Popescu-Tăriceanu |
Prédécesseur | Cristian Diaconescu |
Successeur | Tudor Chiuariu |
Biographie | |
Nom de naissance | Monica Luisa Macovei |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Bucarest (Roumanie) |
Nationalité | Roumaine |
Parti politique | PDL (2009-2014) Indépendante (2014-2015) M10 (2015-2018) |
Diplômée de | Université de Bucarest Université de l'État de New York Université d'Europe centrale Université de Birmingham Université de Turku |
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Monica Luisa Macovei, née le à Bucarest, est une juriste, procureure et femme politique roumaine. De 2004 à 2007, elle est ministre de la Justice du gouvernement Popescu-Tăriceanu. Pendant cette période, elle conduit les réformes judiciaires nécessaires à l'entrée de la Roumanie dans l'Union européenne[1]. En 2014, elle se présente à l'élection présidentielle. Elle fonde en 2015 le parti politique de centre droit M10.
Monica Macovei est ministre de la Justice du au .
En 2008, le Parlement européen la désigne femme de l'année[2].
Élue députée européenne en 2009, elle s'inscrit au Parti populaire européen (PPE). Durant tout le mandat, elle est membre de la Commission du contrôle budgétaire et de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures. À partir de , elle devient aussi membre de la délégation à l'Assemblée parlementaire Euronest et présidente de la délégation à la commission de coopération parlementaire UE-Moldavie. Elle est membre de la Commission spéciale sur la criminalité organisée, la corruption et le blanchiment de capitaux de à .
En , elle se porte candidate indépendante à l'élection présidentielle. Au soir du premier tour, elle termine en cinquième position avec 4,44 % des suffrages exprimés. Avant de lui apporter son soutien en vue du second tout, elle propose à Klaus Iohannis un « Accord pour le salut de l'État de droit et de la démocratie », que celui-ci accepte[3]. Le Klaus Iohannis est élu président face à Victor Ponta.
Réélue députée européenne en mai 2014, elle reste membre de la Commission du contrôle budgétaire et de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures. D'abord membre, elle devient le présidente de la Délégation à la commission parlementaire de stabilisation et d'association UE-Albanie.
Le Parlement européen adopte le son rapport relatif à la création d'un parquet européen[4].
En , elle quitte le PPE et rejoint le groupe des Conservateurs et réformistes européens[5].