Oana Orlea

Dans cet article, nous explorerons le sujet de Oana Orlea sous différentes perspectives et approches, dans le but de fournir une vision complète et complète de ce sujet. Tout au long du texte, nous analyserons à la fois ses origines et sa pertinence aujourd’hui, ainsi que ses implications et conséquences possibles. De même, nous examinerons différentes études et recherches qui ont été menées autour de Oana Orlea, afin de proposer une vision académique et scientifiquement fondée. En fin de compte, cet article cherche à fournir au lecteur un aperçu approfondi et détaillé de Oana Orlea, afin qu'il puisse acquérir des connaissances solides et complètes sur le sujet.

Oana Orlea
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 78 ans)
Nationalité
Activité
Père
Constantin Cantacuzino (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

Oana Orlea, de son vrai nom Maria-Ioana Cantacuzino, née le à Fălticeni et morte le à Maignelay-Montigny, est une écrivaine et ancienne prisonnière politique roumaine exilée en France de 1980 jusqu'à sa mort.

Biographie

Origines et Vie privée

Oana Orlea naît le 21 avril 1936 de l'aviateur Bâzu Cantacuzino et d’Anca Diamandi[1]. Elle est la nièce par alliance du compositeur George Enescu, décédé en 1955 à Paris[2].

En 1944, elle entame ses études à l'École Centrale de Bucarest qu'elle ne termine qu'en 1965 à l'École "I. L. Caragiale", dans la section sans fréquentation[3].

En 1952, à l'âge de 16 ans, elle est arrêtée et condamnée à quatre ans de prison, accusée de complot et d'action subversive contre l'État pour avoir distribué des manifestes anticommunistes[4]. Elle purge sa peine de prison jusqu'en 1954[5].

Parcours littéraire

Oana Orlea est l'autrice de plusieurs romans, rédigés aussi bien en roumain qu'en français.

Dans les années 1960, Ioana Cantacuzino réussit à publier sept livres - de la prose courte et des romans - sous le pseudonyme d'Oana Orlea.

En 1980, elle établit sa résidence en France où elle sollicite et obtient l'asile politique[6].

Inspirée de ses expériences en prison, elle écrit une autobiographie sur sa jeunesse volée[7]. Elle signe ses livres de son nom de femme mariée, Oana Orlea.

Publications

  • (fr) Un sosie en cavale: roman, Seuil, (ISBN 978-2-02-009121-3).
  • (fr) Les années volées : dans le goulag roumain à 16 ans, Paris, coll. « L'Histoire immédiate », [8].

Notes et Références

Notes

(ro) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en roumain intitulé « Oana Orlea » (voir la liste des auteurs).

Références

  1. Aurel Sasu, « 1: A - L », dans Dicţionarul biografic al literaturii române, Paralela 45, (ISBN 978-973-697-759-6)
  2. (ro) Culture-Médias, Département Vie, « Scriitoarea Oana Orlea, nepoata lui George Enescu, a murit la vârsta de 78 de ani » Accès libre, sur Mediafax, (consulté le )
  3. George Marcu et Rodica Ilinca, Enciclopedia personalităților feminine din România, Editura Meronia, (ISBN 978-973-7839-77-0)
  4. (ro) Anca Vancu, « Amintiri din adolescenţa Oanei Orlea, fiica lui Bâzu Cantacuzino: 3 ani de detenţie în 13 puşcării » Accès libre, sur historia.ro (consulté le )
  5. (ro) George Marcu et Alex Ștefănescu, Femei de seamă din România: de ieri și de azi, Editura Meronia, (ISBN 978-606-750-022-6, OCLC on1019630340, lire en ligne), p. 334-335
  6. (ro) « Scriitoarea Oana Orlea, nepoata lui George Enescu, a murit la vârsta de 78 de ani » Accès libre, sur Mediafax, (consulté le )
  7. Ursula Mathis-Moser, Birgit Mertz-Baumgartner et Charles Bonn, Passages et ancrages en France : dictionnaire des écrivains migrants de langue française (1981-2011), Honoré Champion, (ISBN 978-2-7453-2400-9 et 2-7453-2400-4, OCLC 796995647, présentation en ligne)
  8. Oana (1936- ) Auteur du texte Orlea, Les années volées : dans le goulag roumain à 16 ans / Oana Orlea, (lire en ligne)