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Naissance | |
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Décès |
(à 78 ans) |
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Père |
Constantin Cantacuzino (en) |
Oana Orlea, de son vrai nom Maria-Ioana Cantacuzino, née le à Fălticeni et morte le à Maignelay-Montigny, est une écrivaine et ancienne prisonnière politique roumaine exilée en France de 1980 jusqu'à sa mort.
Oana Orlea naît le 21 avril 1936 de l'aviateur Bâzu Cantacuzino et d’Anca Diamandi[1]. Elle est la nièce par alliance du compositeur George Enescu, décédé en 1955 à Paris[2].
En 1944, elle entame ses études à l'École Centrale de Bucarest qu'elle ne termine qu'en 1965 à l'École "I. L. Caragiale", dans la section sans fréquentation[3].
En 1952, à l'âge de 16 ans, elle est arrêtée et condamnée à quatre ans de prison, accusée de complot et d'action subversive contre l'État pour avoir distribué des manifestes anticommunistes[4]. Elle purge sa peine de prison jusqu'en 1954[5].
Oana Orlea est l'autrice de plusieurs romans, rédigés aussi bien en roumain qu'en français.
Dans les années 1960, Ioana Cantacuzino réussit à publier sept livres - de la prose courte et des romans - sous le pseudonyme d'Oana Orlea.
En 1980, elle établit sa résidence en France où elle sollicite et obtient l'asile politique[6].
Inspirée de ses expériences en prison, elle écrit une autobiographie sur sa jeunesse volée[7]. Elle signe ses livres de son nom de femme mariée, Oana Orlea.