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Naissance | |
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Décès | |
Sépulture |
Cimetière Saint-André (d) |
Nom dans la langue maternelle |
Петро́ Григо́рович Григоре́нко |
Nationalités |
américaine (à partir de ) soviétique (jusqu'en ) |
Allégeance | |
Formation |
Académie du génie Nicolas Institut polytechnique de Kharkov (en) |
Activités | |
Conjoint |
Zinaida Grigorenko (d) |
A travaillé pour | |
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Parti politique | |
Grades militaires | |
Conflit | |
Distinctions | Liste détaillée Ordre de Lénine Médaille du 30e anniversaire de la Victoire sur l'Allemagne Médaille du Jubilé des « 20 ans de la victoire dans la Grande guerre patriotique de 1941-1945 » (en) Médaille du Jubilé des « 30 ans de l'Armée et la Marine soviétique » (en) Médaille du Jubilé des « 40 Ans des Forces armées de l'URSS » (en) Médaille du Jubilé des « 50 Ans des Forces armées de l'URSS » (en) Ordre du Courage de 1re classe Médaille du mérite au combat Ordre de l'Étoile rouge Médaille pour la victoire sur l'Allemagne dans la Grande Guerre patriotique de 1941-1945 Ordre de la Guerre patriotique de 1re classe Ordre du Drapeau rouge Ordre du Courage |
Piotr Grigorievitch Grigorenko ou Petro Hryhorovych Hryhorenko (en russe : Пётр Григорьевич Григоренко, en ukrainien : Петро Григорович Григоренко), né le à Borissovka (près de Prymorsk) et mort le à New York, est un officier de l'Armée rouge, dissident soviétique et défenseur des droits humains.
Roux et de petite taille, il est victime de discrimination dès son enfance à l'école, il est surnommé "martycka" notamment.
Il devient un dissident[1],[2], et l'un des fondateurs du mouvement pour les droits de l'homme en URSS[3].
Il a pour cette raison à subir les traitements[4] de la psychiatrie punitive en URSS[5], et ceci malgré sa carrière militaire et de vétéran de la Seconde Guerre mondiale[5].
En 1969, Grigorenko écrit une lettre ouverte à Iouri Andropov, président du KGB, dans lequel il fait état de filatures illégales que le KGB a organisées pour le surveiller depuis sa sortie de prison en 1965, de l'écoute systématique de ses communications et entretiens téléphoniques et de la photographie de sa correspondance.
Après sa libération, il devient défenseur des droits humains[6], en dénonçant les actions menées contre les Tatars à partir de « la Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948 et de Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide »[7]. Dans le milieu des années 1970, il participe activement au groupe Helsinki de Moscou et au groupe ukrainien d'Helsinki.
En 1977, il quitte l'Union soviétique pour les États-Unis et perd sa nationalité soviétique[8],[9], où il meurt en exil[10],[11] en 1987.