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Il collabora probablement à L'Humanité, et certainement au Sourire (il en fut le secrétaire de rédaction puis le rédacteur en chef quand le titre devint Le Sourire de France). Pendant la Première Guerre mondiale, il donne des échos à L'Heure et des articles à La Rampe, Le Bonnet rouge, Le Journal du Peuple, Le Front. Il participe à la revue La Baïonnette en 1916. Il devient journaliste au Canard enchaîné de 1916 à 1935. Il s'occupe d'un magazine intitulé La Petite Semaine, composée de quatre feuilles insérées dans Le Sourire, un grand hebdomadaire humoristique de l'époque, dont il prend la rédaction en chef en 1917, jusqu'en 1922.
Le directeur du Canard enchaîné, Maurice Maréchal, lance un journal humoristique nommé Le Pélican fin avril 1921, dont Rodolphe Bringer est le rédacteur en chef et directeur-gérant. Ce journal tint quelques mois, puis disparut devant la montée du journal Le Merle Blanc. Il était en fait une pâle copie du Canard enchaîné, journal humoristique, publiant « des romans, des contes, des nouvelles, des échos, des dessins », des articles dus à la plume de quelques-uns des collaborateurs du Canard enchaîné et d'autres amis proches.
Rodolphe Bringer s'éloigne du Canard enchaîné vers 1935. Il est l'auteur de romans policiers, et d'ouvrages destinés à la jeunesse.
Il mourut en 1943, dans sa chère retraite de Gonfle-Boufigue, alias Pierrelatte dans la Drôme. Son fils Jean Bringer, né le à Vincennes, fut assassiné par les Allemands sur le dépôt de munitions du Domaine de Baudrigue à Roullens le avec quatorze de ses camarades[1]. Jean-Marie Bringer, son petit-fils et fils de Jean, unique descendant, grand défenseur de la Laïcité et adepte du Pastafarisme s'est éteint le .
Œuvres
Le Record de Guichemolles, Chailley, 1894. Illustré par Guydo.