Sabine André

Cet article abordera le sujet de Sabine André, qui a suscité un grand intérêt et une controverse ces derniers temps. Depuis son émergence, Sabine André a retenu l'attention des spécialistes, des universitaires et du grand public en raison de sa pertinence et de son impact sur divers aspects de la société moderne. Tout au long de ces pages, différentes approches et perspectives sur Sabine André seront explorées, ainsi que son influence sur des domaines aussi variés que la technologie, la politique, la culture et l'économie. L'intention est d'offrir une vision complète et actualisée du sujet, afin d'enrichir le débat et de promouvoir une compréhension plus profonde de Sabine André et de sa signification aujourd'hui.

Sabine André
Nom de naissance Sabine Eiffling
Surnom Sabine Andrée
Naissance
Bruxelles, Belgique
Nationalité belge
Profession actrice
chanteuse
danseuse

Sabine André[1] est une actrice, chanteuse et danseuse belge née le à Bruxelles.

Biographie

De son vrai nom Sabine Eiffling[2], elle naît le à Bruxelles[3]. À seulement treize ans, elle suit la troupe bruxelloise des Ballets blancs à travers l'Europe et se lance dans la danse. À son retour à Bruxelles, elle devient girl au Casino de Bruxelles et y joue dans la version française de la comédie musicale No, No, Nanette aux côtés de Fernand Gravey, obtenant son premier rôle important en remplaçant la comédienne principale tombée malade[2]. Elle part ensuite pour Paris où elle rencontre le compositeur et producteur Vincent Scotto qui compose pour elle des chansons et lui permet de se produire au cabaret Monteverdi.

Madame Rasimi, costumière et directrice de théâtre influente, la fait engager au théâtre de la Porte-Saint-Martin où elle joue les opérettes Ignace aux côtés de Fernandel et Andrex en 1936, puis Un de la musique avec Georges Milton en 1937. Durant l'Occupation, elle apparaît au cinéma dans des petits rôles comme celui de Ginette dans Le Prince charmant de Jean Boyer. Grâce au soutien d'Albert Willemetz, elle continue en parallèle à se produire dans des opérettes, reprenant notamment Phi-Phi d'Henri Christiné en 1940 aux Bouffes-Parisiens[4].

Après la Seconde Guerre mondiale, sa carrière cinématographique prend de l'ampleur et on la voit alors dans divers films, interprétant surtout des petits rôles peu crédités.

Sabine André fait partie, comme Renée Simonot (1911-2021)[5],[6], June Spencer (en) (1919-2024), Lucienne Legrand (1920-2022), Jacqueline Ferrière (1921-2024), Micheline Presle (1922-2024) et Annabel Maule (en) (née en 1922)[7], du cercle des actrices centenaires.

Son décès n'étant pas à ce jour confirmé, elle est considérée par certains comme la doyenne des actrices et acteurs du monde[8] bien que quelques sources indiquent sa mort en 2011 sans plus de précisions[9].

Théâtre

Filmographie

Cinéma

Télévision

Notes et références

  1. Également orthographié « Andrée ».
  2. a et b « Hier, elle était Sabine Eiffling… », Vedettes, 7 décembre 1940 (cf. #Bibliographie).
  3. « Sabine Andrée », sur Bibliothèque nationale de France.
  4. « Les spectacles : Aux Bouffes-Parisiens », Paris-Soir,‎ (lire en ligne).
  5. « Mère de Catherine Deneuve et doyenne mondiale des actrices, Renée Simonot est morte », sur premiere.fr, (consulté le ).
  6. « Renée Dorléac, comédienne et mère de Catherine Deneuve, est morte à 109 ans », sur marieclaire.fr, (consulté le ).
  7. Yves Jaeglé, « “Avoir 100 ans ? Rien de spécial” : Micheline Presle rembobine le film de sa vie parmi les géants du cinéma », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  8. « Ils sont Belges et fiers de l’être : Jacques Mercier rend hommage aux stars de notre Plat Pays » Accès payant, sur dhnet.be, (consulté le ).
  9. Cf. infra Les Archives du spectacle.

Annexes

Bibliographie

  • « Hier, elle était Sabine Eiffling », Vedettes, no 4,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes