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Bibliothécaire du Vatican | |
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à partir de |
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture | |
Formation | |
Activités |
Conseiller (à partir de ), conservateur de musée (à partir de ), directeur (à partir de ), diplomate (- |
Famille |
Maison des Gradi (en) |
Père |
Miho Gradić (d) |
Parentèle |
Petar Beneša (d) (oncle) Junije Palmotić (cousin germain) |
Maîtres | |
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Personne liée |
Ioannes Lucius (en) |
Stefano Gradi ( à Raguse, République de Raguse - à Rome) est un philologue et poète italien d'origine dalmate qui est garde de la bibliothèque du Vatican.
Né à Raguse dans le , d’une famille noble, il embrasse l’état ecclésiastique, est pourvu de l’abbaye de Saint-Côme et Saint-Damien, et succéda à Leone Allacci, en 1661, dans la place de conservateur de la Bibliothèque apostolique vaticane. C'était un homme très-instruit, d'un caractère doux et affable, et plein de zèle pour le progrès des lettres. Le Sénat de Raguse le députe près de Louis XIV, pour lui demander des secours contre les Ottomans ; mais les jésuites, qui se rappelaient sa dispute contre le père Honoré Fabri, crurent et surent persuader au roi que le but secret de son voyage était de se concerter avec les chefs du parti janséniste, et il reçut l'ordre de sortir de Paris, le jour même qui avait été fixé pour son audience. Gradi meurt à Rome le , à un âge avancé.
On a de lui plusieurs petits ouvrages, parmi lesquels on cite les suivants :
On a encore de lui une Vie d’Allacci, manuscrite ; et une Dissertation, sous le nom de Marino Statilio, touchant un fragment Pétrone, nouvellement découvert, et dont il s’efforce de prouver l’authenticité. Enfin Ferdinand von Fürstenberg, qui l’honorait de son amitié, a recueilli ses poésies latines, et les a insérées dans le recueil intitulé : Septem illustr. virorum poemata.