Dans l'article d'aujourd'hui, nous explorerons Yves Arman, un sujet qui a retenu l'attention des experts et des passionnés. Depuis des années, Yves Arman fait l'objet de débats et de discussions dans divers domaines, de la politique à la science, en passant par la culture populaire. Avec l’évolution des sociétés et les progrès de la technologie, Yves Arman a acquis un rôle important dans notre vie quotidienne, suscitant à la fois fascination et controverse. Tout au long de cet article, nous examinerons en profondeur les différentes facettes de Yves Arman, en abordant ses origines, son impact sur la société et ses perspectives d'avenir.
Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Yvo Antonio Carlo Fernandez |
Nationalités | |
Activités | |
Père | |
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Enfant |
Madison Arman |
Yves Arman, né Yves Fernandez le à Nice et mort le à Saragosse en Espagne, est un collectionneur et marchand d'art, photographe et écrivain qui écrivit un des premiers ouvrages de référence sur Marcel Duchamp[1], artiste sur lequel il s'était spécialisé en honorant « la dérision duchampienne ».
Benjamin des trois enfants de l'artiste peintre plasticien Arman et de la compositrice française Éliane Radigue, Yves est appelé ainsi en référence à son parrain, le meilleur ami d'Arman, Yves Klein. Yves Arman s'installe à New York, avec sa femme Francine, en 1975. Il y ouvre une galerie d'art sur Madison Avenue, la Gallery Yves Arman, de la fin des années 1970 jusqu'en 1984, où il expose de nombreux jeunes artistes, avec deux maximes : « In art we trust » (« Nous croyons en l'art », déclinaison de la devise des États-Unis, « In God We Trust ».) et « L'Art c'est la Vie » (« Art is life »), en écho, clin d'œil à Marcel Duchamp.
En 1987, il quitte New York pour Monte-Carlo, où est née sa fille, Madison Arman.
Deux ans plus tard, il meurt dans un accident de voiture à 34 ans, alors qu'il se rendait à Madrid à une foire d'art contemporain où il devait retrouver Keith Haring. En guise d'adieu, celui-ci peint sur son cercueil son icône de l'ange[2], symbole qu'Yves avait choisi pour signature et sceau dans ses activités[3]. Il repose au cimetière de Vence avec sa grand-mère paternelle, Marie-Marguerite Jacquet Fernandez, décédée en 1973 et son grand-père paternel Antonio Fernandez décédé en 1992.