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Anne Mahrer | |
![]() Portrait officiel, 2014. | |
Fonctions | |
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Conseillère nationale | |
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Législature | 49e |
Prédécesseur | Antonio Hodgers |
Successeur | Lisa Mazzone |
Députée au Grand Conseil du canton de Genève | |
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Législature | 55e à 57e |
Présidente des Verts genevois | |
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Prédécesseur | Antonio Hodgers |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Genève |
Nationalité | suisse |
Parti politique | Les Verts |
Profession | Bibliothécaire-documentaliste |
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Anne Mahrer, née le à Genève (originaire du même lieu et d'Egg), est une personnalité politique suisse membre des Verts. Elle est députée du canton de Genève au Conseil national de à .
Anne Mahrer naît le à Genève[1], dans le quartier de Champel[2]. Elle est originaire du même lieu et d'une commune zurichoise, Egg[1].
Elle est bibliothécaire-documentaliste de formation[1] et travaille pendant plus de trente ans au collège du Foron à Thônex[2].
Elle est mariée à François-Régis Mahrer[3], ingénieur de profession, également membre des Verts et brièvement député au Grand Conseil du canton de Genève en 1993[4],[5].
Elle milite au sein du mouvement antinucléaire dans les années 1970[6].
Elle adhère au parti écologiste des Verts en 1983[7].
Elle est membre du Conseil communal (législatif) de Puplinge de à [1].
Elle est députée au Grand Conseil du canton de Genève de à et en assure la présidence à [1]. Elle est le premier élu des Verts à présider l'hémicycle[6].
Elle est présidente des Verts du canton de Genève de à [1]. Féministe convaincue, elle annonce vouloir se battre pour que les femmes du parti puissent accéder à des places dans l'exécutif gouvernemental[7].
En , Anne Mahrer remplace Antonio Hodgers au Conseil national, celui-ci ayant démissionné à la suite de son élection au Conseil d'État genevois[8]. Lors des élections fédérales de 2015, elle n'est pas réélue par la population genevoise, les Verts ayant perdu un siège à Genève et sa colistière Lisa Mazzone ayant fait un score supérieur[9].
Contactée par l'ancien conseiller aux États Luc Recordon au printemps 2016 aux fins de créer une association regroupant des personnes vulnérables au réchauffement climatique[2], les recours collectifs étant difficiles en Suisse[3], Anne Mahrer devient coprésidente (avec Rosmarie Wydler-Wälti) de l’association des Aînées pour la protection du climat, fondée en 2016[10],[11]. L'association fait condamner la Suisse en 2024 par la Cour européenne des droits de l'homme pour inaction climatique[12].