Die (Drôme)

Die
Die (Drôme)
Vue générale depuis l'est.
Blason de Die
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
(sous-préfecture)
Arrondissement Die
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté de communes du Diois
(siège)
Maire
Mandat
Isabelle Bizouard (DVG)
2020-2026
Code postal 26150
Code commune 26113
Démographie
Gentilé Diois
Population
municipale
4 803 hab. (2021 en augmentation de 4,96 % par rapport à 2015)
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 45′ 13″ nord, 5° 22′ 13″ est
Altitude Min. 367 m
Max. 1 841 m
Superficie 57,28 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Die
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton du Diois
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France Die
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Drôme
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Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens
Site web mairie-die.fr

Die est une commune française, sous-préfecture du département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Diois.

Géographie

Localisation

La commune de Die se trouve à environ (60 km) à l'est de Valence, préfecture du département.
Le territoire de la commune de Die fait partie du parc naturel régional du Vercors et du Pays Diois (communauté de 52 communes englobant 4 cantons).

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Solaure en Diois, Barsac, Chamaloc, Laval-d'Aix, Marignac-en-Diois, Molières-Glandaz, Ponet-et-Saint-Auban, Romeyer et Aix-en-Diois.

Relief et géologie

Dent de Die.

Die se trouve au pied du massif du Vercors au bord de la rivière de la Drôme.

Die et sa vallée sont dominées par la montagne de Glandasse à 2 041 mètres, barrière rocheuse massive et raide composant l'extrémité méridionale du Vercors.

Sites particuliers :

Géologie

La plate-forme urgonienne de la montagne de Glandasse (dont le Pestel) est un site géologique remarquable de 1 970,37 hectares, qui se trouve sur les communes de Châtillon-en-Diois (aux lieux-dits Montagne du Glandasse et le Pestel), Die, Laval-d'Aix, Romeyer, Treschenu-Creyers et Chichilianne. En 2014, elle a été classée « trois étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique ».

Hydrographie

Réseau hydrographique de Die.

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 980 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 939,1 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records DIE (26) - alt : 384m, lat : 44°46'03"N, lon : 5°20'36"E
Records établis sur la période du 01-01-1990 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,7 −1,8 0,9 3,8 7,8 11,2 13,1 12,9 9,6 6,6 2,2 −1 5,3
Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,8 10,8 14,8 18,8 21,3 21 16,7 12,8 7,4 3,7 11,9
Température maximale moyenne (°C) 8,4 10,3 14,6 17,8 21,9 26,3 29,4 29,1 23,9 18,9 12,6 8,5 18,5
Record de froid (°C)
date du record
−16,1
11.01.10
−17,3
05.02.12
−13,3
01.03.05
−7,2
08.04.21
−2,8
05.05.1991
2
10.06.05
4,3
17.07.00
2,2
31.08.1995
−0,3
29.09.1993
−5,1
23.10.07
−11,3
23.11.1999
−18
18.12.10
−18
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
21,4
19.01.07
23,1
23.02.20
26,4
24.03.1994
29,3
27.04.12
35,2
22.05.22
40,6
28.06.19
39,4
31.07.17
40,9
23.08.23
34
04.09.16
31,9
07.10.09
23,1
07.11.15
19,3
30.12.21
40,9
2023
Précipitations (mm) 70,6 51,4 62,1 82,4 86,7 69,4 61,8 66,9 97,5 98,1 114,2 78 939,1
Source : « Fiche 26113003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Die est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.

Elle appartient à l'unité urbaine de Die, une unité urbaine monocommunale de 4 803 habitants en 2021, constituant une ville isolée,.

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Die, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants,.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), terres arables (8,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7 %), prairies (5,4 %), zones urbanisées (3,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Morphologie urbaine

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Quartiers, hameaux et lieux-dits

Site Géoportail (carte IGN) :

Logement

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Projets d'aménagement

Le plan d'urbanisme en cours prévoit l'agrandissement de la zone d'activité économique de Chamarges, située à l'ouest de la ville.

Voies de communications et transports

Réseau routier

La commune est accessible par la route départementale 93 (aussi appelée route des Alpes ou de Gap) ; au nord par la RD 518 depuis Villard-de-Lans, La Chapelle-en-Vercors et le col de Rousset. Côté Gapençais, à l'est, l'accès se fait à partir de la RD 1075 reliant Sisteron à Grenoble (Lus-la-Croix-Haute).

À l'ouest, côté vallée du Rhône, la sortie d'autoroute la plus proche est la sortie Sortie 16 Loriol-sur-Drôme de l'A7, à Loriol.

Réseau ferroviaire

La gare de Die est située sur la ligne de Livron à Aspres-sur-Buëch et est desservie par,, :

Transports en commun

La commune est desservie par deux lignes de bus régulières, ainsi que par un service de bus à la demande pour les vallées du Diois, non desservies par une ligne régulière :

Une nouvelle ligne sera prochainement mise en service : Vallée de Quint - Romeyer - Die.

La commune dispose d'un héliport (à Chamarges).

Risques naturels et technologiques

Risques sismiques Article connexe : Risque sismique dans la Drôme. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Autres risques Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Toponymie

Attestations

Dictionnaire topographique du département de la Drôme :

Étymologie

Le nom de la ville dérive du latin dea « déesse ». Il s'agit de la déesse gauloise Andarta.

Die, Diá en occitan vivaro-alpin, tire son nom du culte de la déesse voconce Andarta qui fut adoptée par les Romains.

Transposition Die en français,,.

Histoire

Préhistoire et protohistoire

Dès l'âge néolithique, la présence d'un habitat est attesté, notamment grâce aux fouilles de Chanqueyras.

Une grande statue-menhir gravée accompagnée de deux petits menhirs, découverts près de la coopérative viticole (actuellement conservés au musée de Die), attestent également de la présence de populations,. Il s'agit de la plus ancienne statue-menhir connue à ce jour en France, et peut-être en Europe.

Les vestiges de l'âge du Bronze final ont été observés à La Roche de Marignac.

Quelques tessons ont été retrouvés à Chandillon.

Antiquité : les Gallo-romains

Article détaillé : Dea Augusta Vocontiorum. La porte Saint-Marcel.

Une première agglomération semble s'implanter au début de l'époque romaine sur un petit col surplombant la Drôme et le franchissement du vallon de Meyrosse, au carrefour entre la vallée et la voie menant au Trièves. De nombreux indices montrent l'extension de l'urbanisation au Ier siècle.

IIe siècle : la ville de Die compte de nombreux monuments. Capitale des Voconces, elle remplace Luc-en-Diois dans cette fonction. Le titre de colonie (colonia Dea Augusta Vocontiorum) lui est décerné vers la fin du IIe siècle ou dans le courant du IIIe siècle. La ville devient un centre important du culte de Cybèle (attesté par sept inscriptions tauroboliques).

Nombreuses découvertes gallo-romaines : statues, bijoux, monnaies, stèles, inscriptions, et trois autels tauroboliques (MH) du IIIe siècle.

Entre 285 et 305, alors que l'empire montre des signes de faiblesse, la ville s'entoure d'un rempart qui protège une surface urbanisée de 25 hectares. La région est en crise et certains quartiers périphériques sont déjà abandonnés. Le rempart de Die est long de deux kilomètres environ. Lors de l'édification, des fragments de monuments antiques sont réemployés.
La ville avait deux portes principales : la porte Saint-Pierre, démolie en 1891, à l'ouest, et la porte Saint-Marcel à l'est. Lors de la construction du rempart, un arc monumental du IIe siècle a été démonté pierre par pierre pour être réinséré dans la fortification du IVe siècle.
L'axe reliant les deux portes peut être considéré comme étant le decumanus. Le cardo, s'il existe, n'a pas été localisé.
Une route vers Grenoble passait par le massif de Glandasse (sud du Vercors) pour aboutir à Chichilliane. Sur ce plateau ont été retrouvés les fronts de taille de carrières de pierres extraites puis amenées à Die par le Pas de Chabrinel.

325 : Le premier évêque attesté est Nicaise. Il est le seul représentant des églises des Gaules au Premier concile de Nicée. Le diocèse sera réuni en 1276 à celui de Valence, puis à nouveau distinct de ce dernier à la fin du XVIIe siècle, avant d'être supprimé à la Révolution.

Du Moyen Âge à la Révolution

XIe siècle : Die passe sous la suzeraineté des empereurs germaniques puis des évêques de Die.

XIIIe siècle : le territoire de Die est composé de six paroisses : Notre Dame, Le Château, Saint-Marcel, Saint-Maurice, Saint-Pierre, Justin (voir ces noms).

XIVe siècle : le territoire de Die intégré au fief du Valentinois est rattaché au royaume de France en 1316. Ce territoire n'est plus composé que d'une paroisse, celle de la cathédrale Notre-Dame. Elle est desservie par deux curés. Elle aura, pendant quelque temps, pour annexe, l'église Saint-Jean, exclusivement destinée aux enfants.

XVe siècle : Die est rattachée au domaine royal. Le 16 octobre 1467, la ville de Die obtient la confirmation d'anciens privilèges, par lettres patentes du roi Louis XI (1423-1461-1483). 1474 (démographie) : 236 familles roturières, huit familles nobles, 11 exempts ou francs archers et 33 ecclésiastiques. Die est ravagée pendant les guerres de Religion.

1604 : l'Académie protestante de Die est fondée. Elle sera supprimée par le conseil du roi le 11 septembre 1684.

1629 (4 mai) : après la bataille du Pas de Suse, le roi Louis XIII, accompagné du cardinal de Richelieu, fait étape avec ses troupes à Die. Il lui sera offert, pour l'occasion, deux charges de vins de muscat.

Avant 1685 : avant la révocation de l'édit de Nantes, les protestants avaient à Die une académie qui, fondée en 1604 par les synodes du Dauphiné, comprenait une chaire de théologie, une d'hébreu, deux de philosophie et une d'éloquence. Il s'y distribuait chaque année un prix connu sous le nom de prix Marquet.

1685 : après la révocation de l’Édit de Nantes, les protestants qui restent dans le pays se cachent afin de pratiquer leur culte au Désert ; ceux qui sont pris sont condamnés aux galères. De 1685 à 1787, date de l'édit de tolérance, 418 habitants de Die sont ainsi persécutés.

1688 (démographie) : 4 100 habitants.

Avant 1790, Die était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et le siège d'un évêché, d'un bailliage, d'un gouvernement militaire et d'une maîtrise des eaux et forêts.

Die était en outre une des dix villes du Dauphiné, dont les consuls siégeaient à la tète des députés du tiers état, dans les États généraux de cette province, et faisaient partie de la commission chargée d'assister le Procureur des États dans l'intervalle des sessions.

Le mandement de Die ne comprenait autrefois que la partie de la commune de ce nom qui est sur la rive droite de la Drôme, la partie de la rive gauche ayant formé jusqu'au XVe siècle les paroisse et mandement de Justin et, jusqu'à la Révolution, une seigneurie distincte de celle de Die.

L'abbaye de Valcroissant

Dictionnaire topographique du département de la Drôme :

Ancienne abbaye de l'ordre de Cîteaux (de la dépendance de Bonnevaux) fondée vers 1188. Elle a été ruinée pendant les guerres de Religion mais le titre a subsisté jusqu'à la Révolution. L'abbé de Valcroissant était seigneur temporel du lieu et décimateur dans la paroisse de la Chaudière.

De la Révolution à nos jours

Die au XIXe siècle illustrée par Alexandre Debelle (1805-1897).

En 1790, Die devient le chef-lieu d'un district comprenant les cantons de la Chapelle-en-Vercors, Châtillon-en-Diois, Die, la Motte-Chalancon, Luc-en-Diois, Lus-la-Croix-Haute, Pontaix, Saint-Julien-en-Quint, Saint-Nazaire-le-Désert et Valdrôme. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait le chef-lieu d'un arrondissement, comprenant les cantons de Bourdeaux, la Chapelle-en-Vercors, Châtillon-en-Diois, Crest-Nord, Crest-Sud, Die, la Motte-Chalancon, Luc-en-Diois et Saillans.

Le diocèse de Die comprenait avec trois cantons du département de l'Isère, l'arrondissement de Die, moins les communes du canton de Crest-Nord qui sont au couchant des montagnes de la Raye, et la plus grande partie du canton de Crest-Sud, plus le canton de Dieulefit et quelques communes des cantons de Grignan et de Nyons (voir introduction du dictionnaire).

Seconde Guerre mondiale

La commune va souffrir des exactions allemandes.

Histoire récente Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Politique et administration

La mairie.

Tendances politiques et résultats

Article connexe : Élections municipales de 2020 dans la Drôme. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Administration municipale

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Liste des maires

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (novembre 2020). Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source. Article connexe : Élections municipales en France. Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1799 ?    
1799 1801 François-René Reboul   nommé par arrêté préfectoral du 28 germinal an VIII
1801 1804 monsieur Lamorte-Félines fils   22 messidor an IX au 2 fructidor an XII
1804 1806 ?    
1806 1815 Calixte Gueymard de Roquebeau   nommé en 1806 et suspendu le 26 avril 1815
1815 1817 ?    
1817 1819 Jean-Pierre Chevandier    
1819 1822 Étienne Delamorte-Félines    
1822 1823 Louis Long    
1823 1829 François-René Chevandier de Valdrome    
1830 1832 Paul Jean-Pierre Jullien    
1832 1838 Pierre Plan    
1838 1848 Adrien Joubert    
1848 1849 Frédéric Coursange   mort en cours de mandat
1849 1851
(dissolution)
Fortuné Lagier de Vaugelas    
1851 1852 Adrien Joubert    
1853 1870 Émile Laurens    
1870 1876 Ernest Joubert    
1876
(élection ?)
1876 Auguste Audriffret    
1876
(élection ?)
1877 Ernest Joubert    
1878 1878 Louis Coursange    
1878
(élection ?)
1885 Félix Germain    
1885
(élection ?)
1894
(révocation)
Adolphe Ferrier    
1894
(élection ?)
1896 Auguste Barnaud    
1896 1909 Joseph Reynaud    
1909
(élection ?)
1913 Auguste Daspres    
1914 1918 Auguste Simon    
1918
(élection ?)
1922 Paul Coursange    
1923
(élection ?)
1935 Amédée Rousset    
1935 1940 Jules Plan    
1941
(élection ?)
1942 Marie Tardif    
1942
(élection ?)
1944 Maurice Vérillon    
1944 1944 Jules Plan    
1945 1946 Charles Lambert    
1946
(élection ?)
1947 Élie Brochier    
1947 1974 Maurice Vérillon SFIO puis PS conseiller général du canton de Die (1949-1979), sénateur de la Drôme (1959-1980)
1974
(élection ?)
1989 Marcel Bonniot PS député suppléant de Rodolphe Pesce (1978-1986)
1989 1995 Jean-Pierre Rambaud PCF conseiller général du canton de Die (1979-1992 et 1998-2004)
1995 2008 Isabelle Bizouard apparentée PS conseillère générale du canton de Die (1992-1998)
2008 2014 Georges Berginiat DVD  
2014 2020 Gilbert Tremolet MoDem retraité
2020 En cours
(au 12 décembre 2020)
Isabelle Bizouard DVG  

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Jumelages

Localisation des villes jumelées avec Die. Localisation de la villeDie (Drôme) Localisation de la villeWirksworth Localisation de la villeVarallo Sesia Localisation de la villeFrankenau Localisation de la villeKiskunfélegyháza

La ville de Die est jumelée avec cinq villes :

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.

En 2021, la commune comptait 4 803 habitants, en augmentation de 4,96 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 2513 9783 4213 5093 5553 9003 9243 8653 928
Évolution de la population  , suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 9123 8743 7623 8763 8413 7033 8233 7293 681
Évolution de la population  , suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 6383 6513 7973 2323 3043 2413 1753 1843 326
Évolution de la population  , suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 5464 0484 0623 9924 2304 4514 3764 3874 357
Évolution de la population  , suite (4)
2015 2020 2021 - - - - - -
4 5764 7704 803------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.) Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

Plusieurs services publics sont présents sur la commune :

La Maison de services au public du Diois regroupe plusieurs services (Caf, Msa, Conciliateur de justice, Défenseurs des droits, etc.).

Enseignement

Les élèves de Die commencent leurs études au groupe scolaire public Chabestan-Sermant, composé d'une école maternelle (5 classes pour 115 enfants) et d'une école élémentaire (13 classes pour 283 enfants).

L'école primaire privée Notre-Dame dispose de cinq classes (41 élèves).

La commune dispose d'un collège et d'un lycée - lycée du Diois. Le collège propose une option cirque (unique en France). Le lycée propose une section Sport-Nature.

Die dispose aussi de deux centre de formations pour adultes : le Greta Viva5 et le CFPPA de Die (centre de formation agricole - singularité : agroécologie).

Santé

La commune possède un hôpital public.

À la suite de la fermeture des services de maternité et de chirurgie de l'hôpital du centre-ville, l'Agence régionale de santé (ARS) prévoit la construction d'un nouvel hôpital sur zone agricole en périphérie.

Manifestations culturelles et festivités

Loisirs

Sports

La commune possède un complexe sportif.

Manifestations sportives

Médias

Culte

Économie

Champs de lavandin, près de Die. Clairette de Die tradition.

Agriculture

En 1992 : vignes, lavandes, arbres fruitiers, céréales, bovins, ovins, caprins.

La Cave coopérative Clairette de Die est le plus gros employeur du Diois ; elle a adopté le nom de marque « Jaillance ».

Commerce

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Industrie

La commune dispose d'une zone d'activité économique, à l'ouest de la ville, la ZAE de Chamarges.

Tourisme

Die, accrochée dans les années 1960 et 1970 à ses petites industries déclinantes (meuble et chaussure) a raté le tournant historique du tourisme de masse.

Aujourd'hui, Die bénéficie d'un tourisme estival important, populations nordiques et étrangères (Pays-Bas, Belgique) résidant essentiellement dans les campings de la vallée de la Drôme.

Le tourisme hivernal est composé de visiteurs régionaux. Il concerne le ski (championnat de France de ski Handisport), la randonnée en raquettes, les courses de chiens de traîneaux (compétition internationale de l'Alpirush) à la station de ski du col de Rousset (située dans le Massif du Vercors, à 1 300-1 700 mètres).

Revenus de la population et fiscalité

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Emploi

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Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Vestiges des remparts gallo-romains Monuments laïcs La fontaine de la Comtesse Buste de la Comtesse.

Un coin de la place de l’Évêché est appelé « place de la comtesse » ou même « la comtesse », utilisé comme repère dans la ville. Ce nom vient du buste de la comtesse Béatrice de Die, œuvre de Jeanne Royannez (contrairement à ce qu’indique le panneau installé par la municipalité sur le mur de l’évêché et qui comporte de nombreuses erreurs), buste exposé en 1887 au salon de l’Union des femmes peintres et sculpteurs. La ville de Die en fait l’acquisition en 1888 et le buste de la comtesse est inauguré le 10 août 1888 au cours d’une virée estivale des Félibres et du groupe La Cigale (nom de la Société des Méridionaux de Paris). Sont présents le député-maire Maurice-Louis Faure, président de la Cigale, et le maire de Die, Joseph Reynaud, tous deux radicaux-socialistes. Le buste en bronze est installé sur une fontaine et sauvé du programme de récupération des métaux non-ferreux pendant la Seconde Guerre mondiale par une personne anonyme. L’époux de la sculptrice, Clovis Hugues, est lui aussi cigalier. Le monument est régulièrement taggé ou vandalisé. Il est à la fois un symbole occitan, un hommage à une femme, mais cet hommage à une poétesse par une sculptrice est surtout une affaire d’hommes, éloignés des préoccupations des Diois ruraux de l’époque ; cette mise en avant d’une femme de la classe privilégiée fait poser à Kate Fletcher la question de qui est commémoré, défendu, quelles valeurs, quelles idées ? et est un témoin du rapport que les citoyens entretiennent avec leurs institutions.

Liste Monuments religieux Le palais épiscopal s'appuyait sur l'enceinte gallo-romaine, dont la chapelle occupait une tour. Sa construction date des XIe et XIIe siècles. Des traces d'enduits peints (XIIe et XIIIe siècles) subsistent encore.

Patrimoine culturel

Le musée se trouve dans un hôtel particulier du XVIIIe siècle dans le centre-ville (ouvert d'avril à octobre). Gastronomie

Patrimoine naturel

Personnalités liées à la commune

Héraldique, logotype et devise

En 1891, les armoiries de la ville de Die étaient : De gueules au château surmonté de trois tourelles d'argent.

Article détaillé : Armorial des communes de la Drôme.
Apt

Les armes se blasonnent ainsi : De gueules au château de trois tours d'or, maçonné, ouvert et ajouré de sable.

Annexes

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

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Références

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