Dans cet article, nous explorerons l'impact de Université Gustave-Eiffel sur la société moderne. Université Gustave-Eiffel a attiré l'attention des experts et des fans, suscitant un débat intense sur sa pertinence et ses conséquences. Au fil des années, Université Gustave-Eiffel a connu une évolution importante, devenant un sujet d’intérêt général qui impacte divers aspects de la vie quotidienne. De son origine à son influence sur la culture contemporaine, cet article examinera de plus près le rôle que joue Université Gustave-Eiffel dans la société actuelle et comment il a façonné notre monde de manière inattendue.
Université Gustave-Eiffel
Histoire
Fondation
Dates-clés
13 décembre 2019 : publication du décret de création de l'université
L'université dispose de plusieurs sites sur le territoire national dont le campus de Marne-la-Vallée à la cité Descartes, campus de formation et de recherche, implanté au cœur du projet Grand Paris, et qui sera desservi d’ici 2030 par la ligne 15 du réseau Grand Paris Express. Ses autres campus de recherche sont situés :
à Versailles sur le plateau de Satory, au sein du cluster des mobilités innovantes (campus de Versailles) ;
L'université est née en 2020 de la fusion de l'université Paris-Est-Marne-la-Vallée (UPEM) et de l’Ifsttar, l’institut de la recherche européenne sur la ville et les territoires, les transports et le génie civil, l’université Gustave-Eiffel intègre également quatre écoles : l'EAV&T, École d'architecture de la ville et des territoires Paris-Est, l’EIVP, École des ingénieurs de la ville de Paris, l’ENSG-Géomatique, École nationale des sciences géographiques, ainsi que l'ESIEE Paris, l’école de l’innovation technologique de la chambre de commerce et d'industrie de région Paris - Île-de-France. La création de l’université Gustave-Eiffel représente un des jalons majeurs de l'I-SITE FUTURE financé par le programme des Investissements d’Avenir (PIA).
Présentation
L'Université Gustave-Eiffel est un établissement pluridisciplinaire public national d'enseignement supérieur et de recherche.
16 composantes de formation dont 4 établissements composantes ou écoles membres,
23 composantes de recherche.
Ses principales missions sont la formation (initiale et continue), la recherche et l’innovation, l’appui aux politiques publiques et l’ouverture à la société. L’université regroupe un quart de la recherche française sur les villes[4],[5] et s'est spécialisée dans la formation en apprentissage.
L'université de Marne-la-Vallée a comme 1er administrateur Daniel Laurent, qui a été directeur adjoint du cabinet du ministre des universités de 1976 à 1978, puis nommé vice-chancelier des universités de Paris entre 1978 et 1981[7].
Premier institut européen de la recherche sur les transports, le génie civil et la ville durable, l’Ifsttar conduit des travaux de recherche finalisée et d’expertise pour améliorer les conditions de vie de ses concitoyens et favoriser le développement durable de nos sociétés.
Les missions phares qu'elle met en avant portent sur le développement des transports de demain et leurs infrastructures, sur la mobilité des personnes et des biens, la sécurité mais aussi l’aménagement des territoires, les impacts sur l’environnement, les économies d’énergie et de matériaux.
Fin 2012, le siège de l’Ifsttar a rejoint le pôle d’Excellence de la Ville durable du Grand Paris au sein de la Cité Descartes. Sa direction est assurée par Hélène Jacquot-Guimbal jusqu’au , date de création de l’université Gustave-Eiffel. Hélène Jacquot-Guimbal assure l’intérim de la présidence de la nouvelle université, puis Gilles Roussel est nommé président par décret du 13 janvier 2021[8].
Développement du PRES Université Paris-Est
En 2007, l'université de Marne-la-Vallée devient membre fondateur du pôle de recherche et d'enseignement supérieur « université Paris-Est » qui devient, en 2014, une communauté d'universités et d'établissements. En février 2014, le souhait d'une fusion avec l'université Paris-Est Créteil Val-de-Marne est annoncé par les conseils d'administration des deux établissements[9], mais la fusion n'a pas lieu.
L'université accède aux « compétences élargies » au 1er janvier 2009[10].
Le 1er octobre 2013 l'université de Marne-la-Vallée change de logo, d'identité visuelle et d'acronyme : elle devient UPEM à la place d'UPEMLV[11].
Conformément au code de l'éducation qui fixe l’organisation légale des universités publiques en France, l'université Gustave-Eiffel est constituée de plusieurs composantes. On trouve d’une part les unités de formation et de recherche (UFR) et d’autre part les « instituts et écoles ». Ainsi, l’université est structurée en six UFR, 6 instituts, 2 établissements-composantes et 2 écoles-membres :
L’université Gustave-Eiffel remplit une mission de service public de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.
Cette mission se décline, à travers :
la formation initiale et continue,
la recherche fondamentale et appliquée, l’innovation et sa valorisation,
l’appui aux politiques publiques, l’université rassemblant des outils de recherche performants intervenant dès leur conception, à leur mise en œuvre et à leur évaluation,
la diffusion des connaissances scientifiques vers tous les publics, comme par exemple l’organisation d’événements grand public ou l’utilisation des réseaux sociaux - académiques ou généralistes - ou des plateformes web de culture scientifique, technique et industrielle,
la diffusion de la culture humaniste dans toute la société, en particulier à travers le développement des sciences humaines et sociales et de la culture scientifique, technique et industrielle.
la mise en œuvre de projets dans le domaine de l’orientation, de la promotion sociale et de l’insertion professionnelle, notamment vers l’entrepreneuriat, et plus généralement de la formation tout au long de la vie. On peut citer l’exemple du diplôme d'université Espaces communs, pour repenser les lieux de friches urbaines ;
la participation à la construction de l’Espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle prend notamment forme par la participation aux programmes pluriannuels Horizon 2020 et Horizon Europe ou des activités de collaboration sur des projets de recherche ;
l’ouverture à la société, par un vade-mecum qui démontre l’intérêt de l’open science (par exemple libre accès aux publications scientifiques, aux données de recherche, aux codes sources ou aux ressources pédagogiques…), et à la coopération internationale.
Laetitia Dablanc, Doctorante de l'école des Ponts, urbaniste, directrice de recherche à l'université Gustave-Eiffel, directrice de la chaire Logistic City.
Gilles Roussel, 1er vice-président puis président de l’université Gustave-Eiffel, président de la CPU de 2016 à 2020
Henri Van Damme, physicien, ancien directeur scientifique de l’Ifsttar
Carole Aurouet, maîtresse de conférence habilitée à diriger des recherches en études cinématographiques