La question de Auguste de La Force est aujourd’hui très pertinente, car elle touche un large éventail de personnes dans des contextes différents. Tout au long de l’histoire, Auguste de La Force a fait l’objet de débats et de controverses, et son impact s’étend à de multiples domaines de la société. C’est pourquoi il est essentiel d’analyser en détail les différentes facettes de Auguste de La Force, depuis ses origines jusqu’à sa situation actuelle, pour bien comprendre ses implications et trouver des solutions possibles. Dans cet article, nous aborderons différents aspects liés à Auguste de La Force, offrant une vision complète et exhaustive de ce sujet si d'actualité aujourd'hui.
Président Institut de France | |
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Président de la Société de l'histoire de France | |
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Camille Couderc (d) | |
Fauteuil 27 de l'Académie française | |
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Duc |
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Naissance | |
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Décès | |
Sépulture | |
Nom de naissance |
Armand Ghislain Marie Joseph Nompar de Caumont |
Nationalité | |
Formation | |
Activité | |
Famille | |
Père |
Olivier de La Force (d) |
Mère |
Blanche de Maillé de La Tour-Landry (d) |
Conjoint |
Marie-Thérèse Anne de Noailles (d) |
Enfants |
Propriétaire de | |
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Membre de | |
Distinctions |
Le Grand Conti (d) |
Auguste Armand Ghislain Marie Joseph Nompar de Caumont, né à Dieppe le et mort à Saint-Aubin-de-Locquenay le , est un historien français, membre de l'Académie française.
Fils d'Olivier Emmanuel Auguste Louis Ghislain Nompar de Caumont et d'Anne Blanche Élisabeth Jeanne de Maillé de la Tour-Landry[1], petit-fils, du côté de son père, d'Auguste Luc Nompar de Caumont, et, du côté de sa mère, d'Armand-Urbain Louis Charles de Maillé de la Tour-Landry, Auguste de La Force (aussi appelé Auguste-Armand de La Force). Il fait ses études d'abord à domicile, avec un précepteur, puis à partir de 1892 à l'externat fondé par les Jésuites rue de Madrid à Paris[2]. Il est ensuite élève de l’École libre des sciences politiques[3].
Il épouse, le 29 juin 1908, à Paris, Marie-Thérèse Thaïs de Noailles, fille d'Amblard Marie Raymond Amédée, vicomte de Noailles, et de Marie Suzanne Louise Caroline de Gourjault[4].
Spécialiste du XVIIe siècle, lui-même descendant de la famille des Caumont de la Force dont il relate les dix siècles d’histoire, le travail d’historien d’Auguste Armand de La Force lui permet de reconstituer des événements auxquels avaient pris part ses ancêtres. Il est élu à 47 ans membre de l'Académie française le , successeur de Paul-Gabriel d’Haussonville au 27e fauteuil[5].
Il meurt le Joseph Kessel lors de son discours de réception à l'Académie française le 6 février 1964[2].
. Son éloge est prononcé par l'écrivain