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Jacques Desallangre | |
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Fonctions | |
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Député français | |
– (15 ans et 7 jours) |
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Élection | 1er juin 1997 |
Réélection | 16 juin 2002 17 juin 2007 |
Circonscription | 4e de l'Aisne |
Législature | XIe, XIIe et XIIIe (Cinquième République) |
Groupe politique | RCV (1997-2002) CR (2002-2007) GDR (2007-2012) |
Prédécesseur | Emmanuelle Bouquillon |
Successeur | Marie-Françoise Bechtel |
Maire de Tergnier | |
– (26 ans et 12 jours) |
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Élection | |
Réélection | |
Prédécesseur | Guy Ronsin |
Successeur | Christian Crohem |
Conseiller général de l'Aisne | |
– (9 ans, 7 mois et 26 jours) |
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Circonscription | Canton de Tergnier |
Prédécesseur | Paul Hauriez |
Successeur | Michel Carreau |
Conseiller régional de Picardie | |
– (6 ans et 5 jours) |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Châlons-sur-Marne (Marne, France) |
Date de décès | (à 84 ans) |
Lieu de décès | Saint-Quentin (Aisne, France) |
Parti politique | PS (jusqu'en 1993) MDC (1993-2002) ARG (à partir de 2002) PG (2008-2012) |
Profession | Journaliste sportif |
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Maires de Tergnier | |
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Jacques Desallangre, né le à Châlons-sur-Marne (Marne, actuel Châlons-en-Champagne) et mort le à Saint-Quentin[1],[2], est un homme politique français.
Il est maire de Tergnier de 1983 à 2009 et député de l'Aisne de 1997 à 2012, élu du Mouvement des citoyens puis du Parti de gauche.
Jacques Desallangre est journaliste sportif.
Jacques Desallangre est élu député en 1997 sous l'étiquette du Mouvement des citoyens de Jean-Pierre Chevènement. Ayant quitté le MDC en 2002 pour créer l'Association des républicains de gauche (ARG), il est réélu comme divers gauche aux élections législatives de 2002 et siège au sein du Groupe communiste et républicain. Il a été soutenu par le Parti radical de gauche et par le PCF lors des législatives de . Il bat alors facilement la candidate UMP, Mme Brigitte Thuin-Macherez, adjointe au maire de Soissons, avec 54,58 % des voix. En , il rejoint le Parti de gauche nouvellement créé.
Le , lors d'un conseil municipal de la ville de Tergnier, il annonce qu'il présentera sa démission de son poste de maire au préfet le lendemain, pour pouvoir se battre contre la maladie. Il décide cependant de rester conseiller municipal pour continuer à siéger à l'agglomération de Chauny-Tergnier, dont il est le président. Il décide également de continuer son mandat de député de Tergnier-Chauny-Soissons tant que sa santé le lui permettra. En tant que maire, Christian Crohem lui succède en [3].
En février 2012, il quitte le PG pour soutenir la candidature de François Hollande à l'éléction présidentielle. Malade, il décide de ne pas se représenter aux élections législatives et soutient son attaché parlementaire, Frédéric Alliot (ARG soutenu par le PRG et GÉ). Celui-ci n'obtient que 9,50 % des voix au premier tour, derrière notamment les candidats MRC-PS (23,37 %) et FG-PCF (17,31 %).