Dans cet article, nous examinerons en profondeur Houdain et son impact sur la société actuelle. Depuis son apparition, Houdain a généré d’innombrables opinions et débats, devenant ainsi un sujet de conversation récurrent. Ces dernières années, Houdain a acquis une importance encore plus grande, influençant des aspects aussi divers que la politique, l'économie, la culture et la technologie. Tout au long de ces pages, nous explorerons les différents angles sous lesquels Houdain peut être abordé, en examinant ses implications et ses défis dans le monde contemporain. Sans aucun doute, Houdain continue d’être un sujet de réflexion et d’analyse, et cet article cherche à mettre en lumière son importance et sa signification.
Houdain est une ville importante du pays d'Artois. La commune est desservie par la route départementale 341 dite chaussée Brunehaut reliant Arras à Thérouanne. Cependant l'agglomération n'est pas directement sur le tracé de la chaussée Brunehaut mais sur une dérivation.
Houdain-Haut est constituée d'anciennes cités de vieilles constructions minières identiques qui suivent un programme de rénovation.
Houdain-Bas comporte davantage de bâtiments ruraux, mélange de torchis, de briques et de pierres blanches locales comme à Avesnes-le-Comte. C'est ici que l'on trouve les principaux monuments intéressants tels que l'église, les deux anciens moulins, la chapelle de la rue de Géharie ainsi que la Mairie et la fondation Henri-Durant[1].
Les limites du territoire communal. Carte interactive (double-cliquer sur la carte).
la Lawe, cours d'eau naturel de 40,97 km, qui prend sa source dans la commune de Magnicourt-en-Comte et se jette dans la Lys au niveau de la commune de La Gorgue[4] ;
la Brette, d'une longueur de 7,32 km, qui prend sa source dans la commune Fresnicourt-le-Dolmen et se jette dans la Lawe au niveau de la commune[5] ;
le Fossé d'Haillicourt, d'une longueur de 4,31 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Fossé des Sept au niveau de la commune d'Haillicourt[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 787 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 13 km à vol d'oiseau[9], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le site du Coteau et forêt domaniale d'Olhain, d’une superficie de 614 ha et d'une altitude variant de 103 à 180mètres. Cette ZNIEFF est située au niveau de la première ligne de crête de la partie nord des collines de l'Artois[13].
Au , Houdain est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15].
Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bruay-la-Buissière, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[17]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (40,9 %), terres arables (35,5 %), prairies (16,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), forêts (2,7 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Voies de communication et transports
Transports
La commune est desservie par le bus à haut niveau de services (Bhns) de Tadao. Ce bus relie Houdain et Beuvry en passant par Bruay-La-Buissière et Béthune.
Le nom de la localité est attesté sous les formes Hosdenc (1070), Hosden (1104), Husdenc (1177), Hosdainc (1190)[21].
Selon le Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Houdain vient d'un archétype germanique Husiding sur la base husi-duna, maison sur une hauteur (voir Hodenc-en-Bray, Hodeng, Houdan, Hodent, etc.)[22].
Houdain a des origines très anciennes[24]. Au début c’est un village celtique. Donc Houdain existait déjà au temps des romains et était située sur l'axe reliant la capitale des Atrébates à celle des Morins (Arras à Thérouanne).
L'endroit a certainement été choisi pour sa situation géographique dominante. Les romains avaient, pour cette raison, installé un camp fortifié sur la butte d'Houdain à proximité de l'église pour surveiller l'actuelle « Chaussée Brunehaut ».
Ce camp fortifié romain date de 50 à 60 avant Jésus-Christ et est devenu vers 450 un domaine privilégié des Mérovingiens.
En 882, le village est incendié par les Normands (Vikings) et vers 912, il est reconstruit par la population et entouré de murailles sous l'impulsion du roi Charles le Chauve.
Houdain sera encore partiellement détruite par les troupes du comte Ferrand de Portugal en 1212 et les troupes flamandes qui l'achèveront en 1303. D'autres destructions ont lieu en 1374, 1380 ainsi qu'au XVIIIe siècle, sous Louis XIV, par les Anglais du Duc de Marlborough.
Il faut attendre la Renaissance pour qu'Houdain soit érigée en commune, dirigée par les échevins. Elle possède alors sa charte particulière, une abbaye et un couvent de Dominicaines. C'est également sous la Renaissance que François Ier ravage la région qui est alors sous la domination espagnole. En effet, celui-ci, à la tête de ses armées, affronte celles de Charles Quint.
Plus tard, en 1790, Houdain reçoit l'appellation de chef-lieu de canton. 22 communes constituent alors ce canton et il faudra attendre 1801 pour qu'il atteigne 31 communes.
Après la période de la Révolution française, la vie est dure tant la nourriture est pauvre et réduite. L'espérance de vie ne dépasse guère la cinquantaine et les journées de travail sont longues et ardues. C'est dans ces conditions que naît en 1825, au 36 de l'actuelle rue Roger-Salengro, celui qui deviendra plus tard l'inventeur de l'opérette : Florimond Ronger dit Hervé.
Près d'un siècle plus tard, en 1914, la Première Guerre mondiale bouleverse la vie communale. En novembre 1915, la commune est un centre d'instruction pour les fantassins devant monter au front[27]. De violents bombardements ont lieu en 1918. La ville d'Houdain est décorée de la croix de guerre 1914-1918[28] avec citation à l'ordre de l'Armée en hommage aux sacrifices et au courage de la population. Pour faire face à la situation désastreuse de l'après-guerre, il faut faire appel à la main d'œuvre étrangère, notamment polonaise. On débute alors en 1919 le creusement de l'unique fosse d'Houdain (la Fosse no 7) qui sera mise en service 10 ans plus tard en 1929.
En 1939 la Seconde Guerre mondiale est déclarée et les atrocités ressurgissent, comme partout ailleurs, à Houdain. Il faut attendre le pour célébrer la victoire et la paix.
Au sortir de la guerre, tout est à refaire, en particulier dans les mines. Le gouvernement provisoire décide à l'époque la nationalisation des compagnies minières et crée les Houillères Nationales du Nord-Pas-de-Calais.
La bataille du charbon s'engage pour redresser le pays. À Houdain, la fosse no 7 tourne à son plein et sa production se renforce de 1944 à 1954 (1 800 tonnes de charbon par jour en 1946). C'est pourtant en 1954 que son exploitation est abandonnée, cela est vécu comme un drame pour la commune et ses habitants car la fosse no 7 est alors leur seule richesse. Le premier , elle est rattachée à la fosse no 6 et sera utilisée comme fosse de service pour le matériel et le personnel. Elle fonctionnera ainsi jusqu'à la fermeture de la fosse no 6 en 1979 et servira à la remontée du matériel de cette dernière. Elle sera finalement remblayée en 1980 et son chevalement datant de 1907 sera abattu le après une extraction totale de 10 349 000 tonnes de charbon.
XVe siècle : l'église, partiellement détruite, est reconstruite.
1497 : achèvement des travaux de l'église.
1668 : construction du clocher.
1789 : à la Révolution l'église est laissée à l'abandon et tombe en ruine.
1790 : Houdain devient chef-lieu de canton.
1793 : l'abbaye en contrebas de l'église est détruite.
1893 : frappé par la foudre, le clocher en bois brûle.
1894 : une tour carrée remplace le clocher pyramidal.
1918 : Houdain est bombardée les , 21, 22, 30 et .
1919 : début du creusement de l'unique fosse de Houdain, la fosse 7.
1929 : ouverture de la fosse 7.
1954 : fermeture de la fosse 7 après avoir produit plus de 10 millions de tonnes de charbon. Elle est rattachée à la fosse no 6 d'Haillicourt et sera utilisée comme fosse de service pour le matériel et le personnel.
Le premier tour des élections municipales de 2020 se déroule le . Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde de trois mois la tenue du second tour, qui a lieu le . La maire sortante Isabelle Levent affronte ses deux prédécesseurs Daniel Dewalle et Marc Kopaczyk[31].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].
En 2022, la commune comptait 6 990 habitants[Note 7], en évolution de −4,73 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 404 hommes pour 3 774 femmes, soit un taux de 52,58 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,4
6,4
75-89 ans
10,9
17,5
60-74 ans
18,4
20,0
45-59 ans
18,8
17,4
30-44 ans
16,9
18,1
15-29 ans
15,5
20,2
0-14 ans
18,1
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[48]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,6
5,6
75-89 ans
8,9
16,7
60-74 ans
18,1
20,2
45-59 ans
19,2
18,9
30-44 ans
18,1
18,2
15-29 ans
16,2
19,9
0-14 ans
17,9
Économie
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Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 99 d'Houdain est constitué de la cité pavillonnaire de la Victoire et son école, de la cité moderne des Arbres et de son école, ainsi que d'un dispensaire de la Société de Secours minière dans cette dernière cité, tous ces équipements ont été construits à Houdain pour la fosse no 7 - 7 bis des mines de Bruay[49],[50]. Ces différentes cités sont regroupées au sein du quartier prioritaire Le Haut d'Houdain, qui rassemble 3 055 habitants en 2020[51].
Habitations groupées par deux.
Habitations groupées par deux.
Les écoles.
Habitations post-Nationalisation.
Autres lieux et monuments
L'église Saint-Jean-Baptiste
Houdain est surplombée par l'égliseSaint-Jean-Baptiste à l'architecture originale. Elle est formée d'une tour carrée. Partiellement détruite lors des guerres des XIVe et XVe siècles, l'église sera reconstruite et agrandie à la fin du XVe siècle. Il y a une légende à sa construction. Les habitants d'Houdain ont décidé de reconstruire leur église au pied de la colline pour que les personnes âgées ou handicapées puissent y venir. Alors qu'ils faisaient les travaux le jour, la nuit les pierres installées étaient enlevées et remontées en haut de la colline par le diable. Il était donc impossible de faire avancer les travaux et ils ont donc dû engager une concertation entre le diable et le bon Dieu et un arrangement a été trouvé : construire l'église au milieu de la pente. Lorsqu'on regarde l'église d'Houdain, on constate que le chœur et la grande nef ne sont pas dans le même alignement, ce qui est inhabituel pour une église. Les bâtisseurs de la petite nef (vers 1150-1200) avaient peut-être le projet d'une petite église. Quand, trois siècles plus tard, des personnes ont voulu reconstruire ou agrandir l'église, ils ont dû constater que s'ils construisaient la grande nef dans le prolongement de la petite nef, l'extrémité sud-ouest de la grande nef se trouverait au-delà de la colline... Nos bâtisseurs avaient donc le choix entre deux solutions: construire dans le prolongement de la vieille église en renforçant la colline ou construire au pied de la colline... Il a dû y avoir une concertation entre partisans de la vallée et partisans de la colline pour aboutir à une solution : agrandir et reconstruire en utilisant la petite nef existante, mais en déviant l'axe de la grande nef pour que celle-ci soit bien stable sur la colline, sans remonter des tonnes de blocs de craie pour conforter la colline[52].
Philippe Gengembre (1764-1838), chimiste et inventeur, inspecteur Général des Monnaies sous l'Empire puis directeur de la Manufacture royale des machines à vapeur d’Indret, près de Nantes, né à Houdain.
Florimond Ronger dit Hervé (1825-1892), compositeur, auteur dramatique, acteur, chanteur, metteur en scène et directeur de troupe, né à Houdain.
D'azur semé de fleurs de lis d'or, au lambel de gueules de trois pendants chargés chacun de trois petits châteaux d'or rangés en pal, brochant en chef; sur le tout, d'or au créquier de sinople surmonté d'un lambel d'azur[55].
Charles d'Héricourt, Notice sur le canton d'Houdain, Arras : Impr. H. Schoutheer, 1878, 162 pages.
Léopold Foulon, Notes sur la distillerie agricole comparée aux bouilleurs de cru présentées aux cultivateurs du canton d'Houdain, Arras : Rohard-Courtin, 1895, 20 pages.
C. Liétard, Bruay-en-Artois et ses seigneurs. Chronologie des seigneurs de Houdain, Hesdigneul et Ourton, Avesnes-sur-Helpe : Editions de l'Observateur, 1939, 57 pages.
André Fortin, Le canton d'Houdain à travers les siècles, Lens : impr. Ouvrière, 1942, 57 pages.
Jacques-H. Renaud, « Les tramways de l'Artois », dans Revue bimestrielle de la Fédération des Amis des chemins de fer secondaires, no 77, 1966, pages 2–42. Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[56]
Jean-Pierre Roger, « Un célèbre Houdinois, "Hervé" », dans Plein-Nord, no 30, 1977, pages 40–41.
Victor Louchart, Houdain et Houdinois dans la tourmente, 1914-1918, 1978, 59 pages[57].
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑"Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 52, lire en ligne
↑J.-J. Carlier, « Henri d'Oisy, fragment d'études historiques », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1857 publié en 1858, Dunkerque, p. 98, lire en ligne
↑Sophie Diers, « Un budget primitif qui pose question : Mardi 24 avril, la salle d'honneur de l'hôtel de ville accueillait le conseil municipal de la commune. À l'ordre du jour, l'examen et le vote du budget primitif 2014. Budget qui a soulevé quelques questions de la part de Marc Kopaczyk, maire battu aux dernières municipales... », L'Abeille de la Ternoise, no 8465, , p. 30.
↑Cécile Rubichon, « Houdain : Marc Kopaczyk «ne se remettra jamais» de la défaite aux municipales : Élu maire en 2010, Marc Kopaczyk se montrait sûr de la victoire. Mais le 30 mars, Isabelle Levent a pris sa place. Presque six mois après la défaite, il ressent toujours de l’amertume et un grand vide. Il se livre sans pudeur », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Cécile Rubichon, « Houdain: Isabelle Levent prend le fauteuil de Marc Kopaczyk pour sept voix : « Isabelle Levent l’emporte pour dix-sept voix. » C’est ce qui a été annoncé dimanche soir, ce qui apparaissait sur les premiers tableaux de résultats. En réalité, seules sept voix séparent les communistes des socialistes. Dix avaient été oubliées pour Marc Kopaczyk. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Sarah Binet, « Houdain : premier conseil sous l’ère Levent, et premières escarmouches : Vendredi soir, les élus ont dû voter pour désigner leur maire. La salle était comble pour cette séance qui a parfois tourné au règlement de comptes. Isabelle Levent, désormais maire, va devoir composer avec une opposition qui ne la ratera pas. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).