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Naissance |
Oullins |
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Décès |
Francheville |
Nationalité | Française |
Profession | Psychiatre, psychanalyste, professeur d'université (d), résistant (d) et psychologue |
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Jean Bergeret est un médecin, psychanalyste et professeur d'université français né à Oullins le et mort le à Francheville[1].
Jean Bergeret est le fils de Henri Bergeret, membre de Combat et de Témoignage chrétien, membre de la seconde Assemblée nationale constituante (Loire) et député de la Loire de 1946 à 1951[2].
Jean Bergeret est dès l'âge de 20 ans l'animateur de la résistance chrétienne dans la Loire. Il préside la diffusion des Cahiers et du Courrier du témoignage chrétien. Il est l'adjoint de Jean Perrin à Combat.
Il a soutenu sa thèse en 1948 et s'est spécialisé en pédiatrie. Il sort découragé d'une période d'internat en psychiatrie imposée en période de guerre[3]. Au Maroc, il rencontre René Laforgue qui l'initie à la psychanalyse à laquelle il consacrera la suite de sa carrière[3]. Il reprend sa formation en psychiatrie, puis fait une thèse en sciences humaines sur le normal et le pathologique, sous la direction de Didier Anzieu[3]. Il s'installe à Lyon où il participe à la fondation du groupe lyonnais de la Société psychanalytique de Paris (SPP) et devient professeur en psychologie clinique[4].
Il a été l'un des premiers psychanalystes à s'intéresser aux toxicomanes du point de vue théorique et clinique. C'est à cette époque qu'il élabore son concept de violence fondamentale[3] qu'il voit comme l'expression d'un besoin de vivre dans un rapport de dualité entre vie et mort : Eros, contre la pulsion de destructivité freudienne. Il n'accepte pas l'idée de pulsion de mort qu'il considère comme une spéculation philosophique plus que comme un concept métapsychologique.