Dans cet article, nous explorerons l'importance de 1929 au Québec dans la société contemporaine. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, 1929 au Québec a exercé une grande influence dans divers domaines de la vie quotidienne. Tout au long de l’histoire, 1929 au Québec a été un objet de fascination et d’étude, et son impact a laissé sa marque sur la culture, la politique, l’économie et la psychologie. Grâce à une analyse détaillée, nous découvrirons comment 1929 au Québec a façonné nos perceptions et nos comportements, et examinerons son rôle clé dans la formation des identités individuelles et collectives. De même, nous approfondirons les différentes perspectives et approches qui ont été développées autour de 1929 au Québec, afin de mieux comprendre sa pertinence dans le monde d'aujourd'hui.
19 janvier : dans un éditorial du Devoir, Henri Bourassa critique les Franco-Américains qui, selon lui, font passer leur lutte pour la conservation de la langue avant le respect envers l'autorité épiscopale. Selon plusieurs historiens, ces écrits marquent la fin de la lutte des Franco-Américains contre l'américanisation totale[3].
29 janvier : le discours du budget, lû par le trésorier Jacob Nicol, annonce des dépenses de près de 33 millions de dollars pour l'année en cours[1].
Février
5 février : le ministre Athanase David annonce qu'une somme de 1 million de dollars sera allouée annuellement à l'assistance publique[4].
22 février : le gouvernement Taschereau annonce que des indemnités de 23 877 $ ont été remboursés aux victimes de l'inondation du lac Saint-Jean en 1928. De ce montant, la compagnie Duke-Price a payé 10 000 $, la Quebec Lake Saint John & Chibougamau Railway 5 000 $ et le gouvernement 8 377 $[5].
le premier ministre Taschereau découvre un bâton de dynamite éteint à l'entrée de son bureau. On s'aperçoit que la mèche avait auparavant été allumée, mais l'auteur de l'attentat ne sera jamais connu[1].
un projet de loi sur le suffrage féminin est rejeté par 50 voix contre 16[6].
16 décembre : à Trois-Rivières, Andrew Day tue sa femme et ses 7 enfants et tente ensuite de se suicider. Il déclare avoir tout perdu à la Bourse. Il s'agit de la première tuerie de ce genre connue au Québec[21].