Feurs

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Feurs
Feurs
L'hôtel de ville
Blason de Feurs
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Communauté de communes de Forez-Est
(siège)
Maire
Mandat
Marianne Darfeuille
2022-2026
Code postal 42110
Code commune 42094
Démographie
Gentilé Foréziens
Population
municipale
8 338 hab. (2021 en augmentation de 3,5 % par rapport à 2015)
Densité 342 hab./km2
Population
agglomération
9 770 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 30″ nord, 4° 13′ 36″ est
Altitude Min. 327 m
Max. 366 m
Superficie 24,39 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Feurs
(ville-centre)
Aire d'attraction Feurs
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Feurs
(bureau centralisateur)
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Loire
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Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens
Site web feurs.org/

Feurs est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Foréziens et Foréziennes.

Géographie

Localisation

Feurs avec au premier plan
la statue de Michel Combes

Feurs est située au centre de la plaine du Forez, dans le département de la Loire. Elle est l'ancienne capitale historique du Forez auquel elle a donné son nom.

Par la route, sa sous-préfecture Montbrison est à 23 km au sud-ouest, sa préfecture Saint-Étienne à 46 km au sud et Roanne à 41 km au nord.

La ville est en rive droite (côté est) de la Loire, à la confluence de son affluent la Loise.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Valeille, Chambéon, Civens, Cleppé, Poncins, Saint-Laurent-la-Conche, Salt-en-Donzy et Salvizinet.

Communes limitrophes de Feurs
Cleppé Civens Salvizinet
Poncins Feurs Salt-en-Donzy
Chambéon Saint-Laurent-la-Conche Valeille

Hydrographie

La commune est à cheval sur la Loire, qui la traverse du sud au nord. La vallée de la Loire est à cet endroit parsemée de nombreux étangs, notamment au sud de la ville (dont l'étang de la Gravière en bord de Loire, alimenté par le Garollet qui vient de Saint-Martin-Lestra, ainsi que l'étang des Grands Prévoriaux et l'étang des Sables alimentés par un réseau dense de petits chenaux) ; mais aussi à l'est (étang du Palais, alimenté par le ruisseau du Montceau et par un affluent de la Loise) et au nord-est (étangs de la Goutte Fougère).

La Loise, qui vient de l'est, conflue avec la Loire sur la limite nord de la commune avec celle de Civens.

En rive gauche (côté ouest, beaucoup plus sec), le Lignon conflue avec la Loire à l'extrême pointe nord de la commune. Il vient de l'ouest, tandis que son affluent le Vizézy vient du sud-ouest. On trouve aussi l'Aillot, qui marque la limite de commune ouest avec Chambéon sur ses derniers 4,8 km entre le GR89 et sa conflience avec le Lignon.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 657 mm, avec 8 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 650,3 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records FEURS (42) - alt : 347m, lat : 45°44'18"N, lon : 4°14'01"E
Records établis sur la période du 01-02-1993 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 0,3 2,5 5,3 9,4 12,9 14,4 14 10,4 8 3,6 1,1 6,8
Température moyenne (°C) 3,7 4,7 8 11,2 15,3 19 20,8 20,7 16,5 12,9 7,4 4,5 12,1
Température maximale moyenne (°C) 7,1 9,1 13,5 17 21,3 25,2 27,3 27,5 22,7 17,9 11,2 7,9 17,3
Record de froid (°C)
date du record
−13,8
13.01.03
−15,4
05.02.12
−13,5
01.03.05
−6,3
08.04.03
−1,1
15.05.1995
3,5
04.06.01
5,7
17.07.00
3,3
30.08.1998
−0,3
30.09.1995
−7,8
31.10.1997
−10,2
23.11.1998
−12,7
30.12.05
−15,4
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19,3
30.01.13
22,3
24.02.21
26,4
24.03.01
29,8
30.04.05
33,6
11.05.12
39,5
22.06.03
40,7
31.07.20
42
24.08.23
35,8
10.09.23
33,1
02.10.23
23,5
02.11.20
19,4
08.12.10
42
2023
Précipitations (mm) 33,2 27,9 29,3 47,5 76,1 64,6 70,2 68,6 58,2 71,6 66,5 36,6 650,3
Source : « Fiche 42094003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Au 1er janvier 2024, Feurs est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022. Elle appartient à l'unité urbaine de Feurs, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre,,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Feurs, dont elle est la commune-centre,. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants,.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,9 %), zones urbanisées (17,1 %), eaux continentales (12,9 %), prairies (9,8 %), forêts (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Habitat et logement

Avec une superficie totale de 13 km2 et une population totale de 1 207 habitants (en 2020), la densité de population est de 92,6 habitants au km2.

En 2020, la commune comportait 4 687 logements dont 88 % sont des résidences principales, 9,9 % des logements vacants et 2 % des résidences secondaires et logements occasionnels. Parmi les résidences principales, 52,4 % sont propriétaires, 46 % sont locataires et 1,6 % sont logés gratuitement. 47,4 % sont des maisons et 52,3 % des appartements.

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 4 670, alors qu'il était de 4 377 en 2013 et de 4 095 en 2008.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Feurs en 2018 en comparaison avec celle de la Loire et de la France entière.

Le logement à Feurs en 2018.
Typologie Feurs Loire France entière
Résidences principales (en %) 87,4 85,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,2 4,1 9,7
Logements vacants (en %) 10,4 10,4 8,2

Voies de communication et transports

La gare de Feurs

Feurs est accessible par l'échangeur 6 de l'autoroute A72 reliant Saint-Étienne (à 4 km du centre-ville) à l'A89 (vers Clermont-Ferrand).

Elle est traversée par la route départementale 1082 (ancienne route nationale 82) reliant Roanne et Balbigny au nord à Montrond-les-Bains et Saint-Étienne au sud), ainsi que par les routes départementales 1089 à l'ouest (vers Boën-sur-Lignon et Thiers) et 89 (vers Lyon), ces deux dernières étant des anciens tronçons de la route nationale 89.

La gare de Feurs est desservie par les TER Auvergne-Rhône-Alpes, relation RoanneSaint-Étienne.

L'aéroport le plus proche est Saint-Étienne-Loire. L'Aérodrome de Feurs - Chambéon, situé à 4 km de Feurs, est utilisé pour la pratique d’activités de loisirs et de tourisme (aviation légère et aéromodélisme).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Foros segusiavon au IIe siècle, en grec, puis Foro segusiavorum au IVe siècle, en latin.

Basé sur le latin forum, cela signifie « marché, place, des Ségusiaves », peuple gaulois établi dans l'actuelle région du Forez.

Plus tard, le nom du peuple est tombé : Forum en 950, Fuer en 1227, aujourd'hui Feurs.

Feurs est la contraction de Forum Segusiavorum (« Forum des Ségusiaves »). Dotée d'un imposant forum.

Par extension, la ville a donné son nom au Forez.

Histoire

Articles détaillés : Comté de Forez et Liste des comtes de Lyon et de Forez. Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

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Protohistoire

Un village de la Tène (second âge du fer) existe antérieurement au Feurs gallo-romain, en parallèle avec un site similaire à Goincet, à 1,7 km nord-nord-ouest du bourg de Poncins et 4 km en rive gauche (côté ouest) de la Loire. Mais Goincet est délaissé avec l'arrivée de la période antique, tandis que le village sur l'actuelle Feurs, dont le centre se trouve à l'hippodrome, prospère et devient sous Auguste (27 av. J.-C. à 14 apr. J.-C.) la capitale des Ségusiaves — leur capitale précédente n'est pas connue.

Le musée de Feurs possède une monnaie du royaume des Massyles de l'est (tribus berbères en Numidie orientale, nord-est de l'Algérie et ouest de la Tunisie) frappée sous le règne de Micipsa (148 à 118 av. J.-C.). Elle a été trouvée à Feurs, ce qui est tout à fait exceptionnel — cette monnaie est déjà rare en Gaule. Faite de plomb recouvert de cuivre, elle pèse 10 g pour un diamètre de 26 mm et une épaisseur de 2 mm. Elle est très usée, en particulier sur la face du droit qui est presque illisible. Rémy note qu'elle ne fait pas partie de l'inventaire du musée, mais que son usure très avancée pratiquement exclut la possibilité qu'elle ait été achetée ailleurs pour une collection. Il ajoute qu'elle a dû circuler longtemps et être encore en usage au début du règne d'Auguste lors de la fondation de la ville.

Antiquité

Article détaillé : Forum Segusiavorum. Forum Segusiavorum (à droite d'Aquis Segete) sur la table de Peutinger (section 1 : Gaule narbonnaise et Nemausus)

À l'époque gallo-romaine, la capitale des Ségusiaves est signalée par Ptolémée et apparaît sur la table de Peutinger sous le nom de Foru Segusiavorum. Elle devient le centre administratif, religieux, commercial et culturel de la civitas des Ségusiaves de la fin du premier siècle avant notre ère au début du troisième siècle de notre ère.

Ont été mis au jour, des égouts, des bornes milliaires, des inscriptions, des statuettes et des poteries qui témoignent de l'importance, à cette époque, de la ville, située à proximité d'importantes voies antiques.

Moyen Âge

La ville de Feurs dans l'armorial de Guillaume Revel (XVe siècle). La ville médiévale

Le château (ou castrum) de Feurs apparaît dans les sources écrites au milieu du XIIIe siècle, en 1246. Le comte de Forez partage la seigneurie avec la famille d'Augerolles, originaire de Saint-Romain-d'Urfé. L'administration comtale ne semble s'installer qu'à partir du XIVe siècle, avec l'installation, comme dans chaque châtellenie, d'un châtelain et d'un prévôt. Le développement urbain est lié à l'implantation d'une foire (marché) attesté depuis 1227 : la ville se structure et se fortifie à proximité de l'ancien forum antique.

Plan restitué de Feurs au Moyen-Âge

L'église paroissiale Notre-Dame (Beate Mariae de Foro) est mentionnée dès le XIIe siècle : il s'agit d'une possession de l'abbaye de Savigny. Le prieur de Randans, dépendant également de l'abbaye, nomme le curé de la paroisse.

Au Moyen Âge, la ville n'avait pas de pont sur la Loire mais il existait un port à Feurs même (953) et un autre tout proche à Randan (1060).

Le prieuré de Randans

Le prieuré Saint-Martin-de-Randans, situé en dehors de l'enceinte médiévale près de la Loire, est une fondation de l'abbaye de Savigny.

L'église a disparu au cours du XIXe siècle. Les documents anciens, qui la citent très souvent, ne s'accordent pas sur son nom : l'abbé Jean-François Duguet dit le prieuré dédié à Saint-Martin (dont deux chartes de Savigny et certains testaments du XIVe siècle citant Saint-Martin de Randans) et la paroisse à saint-Clair ; deux autres chartes de Savigny citent Saint-Pierre de Randans ; mais près de cinquante textes de Savigny citent Saint-Jean-Baptiste, parfois associé à Saint-Michel, ce qui est donc vraisemblablement le nom du prieuré. Mais il y a peut-être eu une autre église réservée au service paroissial.

Temps modernes

Feurs sur la carte de Cassini Les Ursulines de Feurs

L'établissement de l'ordre enseignant des ursulines à Feurs commence avec la fondation de Jean Jacquelin, bourgeois de Feurs, qui selon la volonté de son père donne en mars 1639 la maison d'habitation qu'il possède dans le faubourg de l'hôpital pour que les sœurs s'y installent. Le 1er octobre 1639 le cardinal Alphonse de Richelieu, archevêque de Lyon, donne sa permission pour cette fondation. Le 25 octobre 1639, quatre (ou six) sœurs conduites par les pères de l'Oratoire sont amenées de l'établissement des ursulines de la Croix à Montbrison, dont Jeanne Relogue la mère de ce couvent. Elles ont un aumônier particulier ; en 1636 c'est Pierre Valeisi.
Dès le début, les affaires temporelles de cette nouvelle maison sont en désordre ; si bien que les sœurs ne reçoivent rapidement plus de novices et qu'elles sont autorisées à se retirer chez leurs parents ; mais des pensiens leur sont demandées. Vers 1689 la plupart se retirent dans leur couvent mais font leur pot en particulier.
Le 9 mai 1708, la sœur Charlotte Carcanisson de la Chassagne, de Tarare, meurt. Il ne reste au couvent que la sœur Chavet. L'archevêque Claude de Saint-Georges ordonne aux ursulines du premier monastère de Montbrison d'envoyer deux religieuses pour prendre possession de la maison de Feurs. Le 24 juillet 1710, le même archevêque fait conduire la sœur Chavet à la première maison d'ursulines de Montbrison, où cette sœur vit encore en 1714. le 30 mai 1711, toujours le même archevêque ordonne à Simon Pactier, curé de Saint-Pierre et archiprêtre de Montbrison, de ramener au premier monastère de Montbrison les ursulines de Feurs, d'enlever les meubles de la maison de Feurs et d'en mettre la chapelle sous interdit. L'église paroissiale reçoit les figures et reliques des saints Fortunat et Pellegrin appartenant au monastère défunt. L'archevêque prend ensuite prétexte que l'établissement de Feurs n'a pas de patentes et qu'il n'y reste personne, pour décréter le 23 mars 1712 l'union de ses biens aux ursulines de Montbrison. Puis le 10 mars 1713 il attribue le monastère et enclos de Feurs aux Petites Écoles de l'Hôtel-Dieu de Feurs, sous condition de donner annuellement « six-vingt » livres à un maître d'école. En 1712 la ville donne son accord pour qu'un nouvel hôtel-dieu soit bâti à l'emplacement du monastère ; la construction dure de fin 1713 à mai 1716.

Révolution française et Empire

Sous la Révolution, le tribunal révolutionnaire dirigé par Claude Javogues fit de nombreuses victimes. La Révolution fut très active et les horreurs de la guillotine marquèrent ses habitants. Les 80 victimes du Tribunal révolutionnaire furent presque toutes exécutées à l'emplacement de la chapelle des Martyrs. La chapelle des martyrs est érigée par le maire Pierre-Marie d'Assier en 1826.

Article détaillé : Chapelle des martyrs.

Appartenant depuis le Xe siècle au comté de Forez (entité rattachée au gouvernement de Lyon de 1542 à la disparition de ce dernier, en 1790), Feurs fait partie du département de Rhône-et-Loire de 1790 à 1793. Finalement, depuis la partition du Rhône-et-Loire, la commune se trouve dans le département de la Loire dont elle fut chef-lieu de 1793 à 1795.

Époque contemporaine

Elle eut un des premiers chemins de fer : la 3e ligne de France Andrézieux - Roanne ouvre sa 1re section le 1er août 1832 entre Saint-Bonnet-les-Oules et Balbigny. Feurs, qui se trouve sur cette section, voit l'implantation des ateliers de la compagnie qui construisent plusieurs locomotives sous les ordres de l'ingénieur Régnié.

Feurs est, aujourd'hui, définitivement tournée vers Saint-Étienne, une ville-modèle pour elle. Cependant, Feurs tente depuis de nombreuses décennies d'exploiter sa position de carrefour entre les métropoles de Clermont-Ferrand et Lyon pour l'axe ouest-est, et entre Roanne et Saint-Étienne, pour l'axe nord-sud.

Nombreux sont les sites d'intérêt archéologique, tous découverts au cours des différents travaux sur la commune.

Feurs était le siège de la communauté de communes de Feurs en Forez, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le 1er janvier 2017, la communauté de communes de Forez-Est, dont est désormais membre la commune.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montbrison du département de la Loire.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Feurs. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Feurs, porté de 23 à 33 communes.

Articles détaillés : Liste des cantons de la Loire, Conseil départemental de la Loire et Liste des conseillers départementaux de la Loire.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Loire.

Articles détaillés : Liste des circonscriptions législatives de la Loire et Liste des députés de la Loire.

Intercommunalité

Feurs est le chef-lieu du canton de Feurs (vingt-trois communes) et elle est le siège de la communauté de communes de Forez Est.

Article connexe : Intercommunalité en France.

Tendances politiques et résultats

Article détaillé : Élections à Feurs.

Au premier tour des élections municipales de 2014 dans la Loire, la liste SE menée par le maire sortant Jean-Pierre Taîte (UMP) obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 111 voix (60,41 %, 24 conseillers municipaux élus dont 12 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par :

Lors de ce scrutin, 36,31 % des électeurs se sont abstenus.

Article connexe : Élections municipales de 2014 dans la Loire.

Au premier tour des élections municipales de 2014 dans la Loire, la liste LR menée par le maire sortant Jean-Pierre Taîte est la seule candidate, et obtient donc la totalité des 1 115 suffrages exprimés. Elle est élue en totalité et 9 de ses membres sont également conseillers communautaires.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 76,78 % des électeurs se sont abstenus et 12 % des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul.

Article connexe : Élections municipales de 2020 dans la Loire.

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1808 1816 Jean-Pierre de Montaigne de Poncins    
1816 1830 Pierre-Marie d'Assier    
1830 1832 Aîné Moudon    
1832 1833 Pierre Jean-Baptiste Arnaud    
1833 1839 Jean-Antoine Morreton    
1839 1841 Noël Benoît Galland    
1841 1846 Michel Gay    
1846 1848 Jean-Joseph d'Assier    
1848 1849 Camille Pariat    
1849 1853 Jean-Joseph d'Assier    
1853 1865 Auguste Broutin Parti de l'Ordre  
1865 1870 Eugène d'Assier    
1870 1878 Léon de Montaigne de Poncins   Comte
1878 1881 Camille Pariat    
1881 1891 Jean-Marie Nigay   Officier d'académie
1891 1896 Félix Nigay    
1896 1900 Charles Dorian Républicain Conseiller général de Feurs (1902 → 1903)
1900 1904 Joseph Ory   Vétérinaire
Député de la Loire (1903 → 1910)
Chevalier du Mérite agricole
1904 1908 Joannès Mollon PRRRS Conseiller général de Feurs (1903 → 1910)
1908 1912 Joseph Ory   Vétérinaire
Député de la Loire (1903 → 1910)
Chevalier du Mérite agricole
1912 1940 Antoine Drivet PRRRS Sculpteur
Député de la Loire (1910 → 1919)
Sénateur de la Loire (1920 → 1940)
Conseiller général de Feurs (1910 → 1934)
Chevalier de la Légion d'honneur
1940 1944 Charles Maxime Geny DVD  
1944 1946 Antoine Drivet    
1946 1951 Joseph Pariel    
1951 1953 Pierre Gapian    
1953 1974 Félix Nigay CNIP Conseiller général de Feurs (1967 → 1974
1974 1977 Maurice Desplaces DVD Conseiller général de Feurs (1974 → 1979
1977 2001 André Delorme DVD  
2001 2008 Benoît Gardet DVG  
2008 28 juin 2022 Jean-Pierre Taite UMPLR Vice-président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes (2016 → 2022)
Député de la Loire (6e circ.) (2022 → )
Président de la CC de Forez-Est (2008 → 2022)
Démissionnaire à la suite de son élection comme député.
4 juillet 2022 En cours
(au 16 décembre 2022)
Marianne Darfeuille DVD Gestionnaire
Conseillère départementale de Feurs (2015 → )
Présidente du SDIS 42 (2021 → 2023)
1re adjointe (2008 → 2022)
Vice-présidente de la CC de Forez-Est (2022 → )

Jumelages

Sur l'initiative du conseil municipal d'Olching et du maire de la ville de Feurs (Félix Nigay), un jumelage a été signé en août 1963, entre les deux communes.

Distinctions et labels

Icône d'horloge obsolète.Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour : 2014)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.

En 2014, la ville de Feurs a participé au concours des villes et villages fleuris et a obtenu une fleur.

Population et société

Démographie

Évolution démographique Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.

En 2021, la commune comptait 8 338 habitants, en augmentation de 3,5 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6001 7961 8371 9372 2402 5712 6462 8162 943
Évolution de la population  , suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 8942 8233 0603 0483 2163 2493 4513 4923 719
Évolution de la population  , suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 7663 9833 9953 9564 3374 5614 7595 1945 381
Évolution de la population  , suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
6 2726 6498 0178 0127 8037 6697 4087 3807 921
Évolution de la population  , suite (4)
2015 2020 2021 - - - - - -
8 0568 3528 338------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.) Histogramme de l'évolution démographique Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (34,9 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (37,8 %) est supérieur au taux départemental (28,6 %).

En 2020, la commune comptait 3 873 hommes pour 4 479 femmes, soit un taux de 53,63 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,60 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2020 en pourcentage
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou + 3,2 
12,6  75-89 ans 16,7 
20  60-74 ans 21,5 
18  45-59 ans 18 
15,8  30-44 ans 13,8 
16,5  15-29 ans 13,4 
16,1  0-14 ans 13,4 
Pyramide des âges du département de la Loire en 2020 en pourcentage
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8  90 ou + 2,3 
7,9  75-89 ans 10,9 
17,2  60-74 ans 18,1 
19,5  45-59 ans 18,8 
17,7  30-44 ans 16,9 
17,8  15-29 ans 16,1 
19,2  0-14 ans 16,9 

Enseignement

Feurs dépend de l'académie de Lyon. Elle dispose de trois écoles : 8-Mai (publique), Charles-Perrault (publique) et Saint-Marcellin-Champagnat (privée) ; de deux collèges, Le Palais (public) et Saint-Marcellin-Champagnat (privé) ; et deux lycées : le lycée du Forez (public) et le lycée technique du Puits de l'Aune (privé).

Sports et loisirs

Le club de basket-ball nommé Les enfants du Forez qui évolue actuellement en Nationale 1.

Le club de football nommé l'US Feurs qui évolue en National 3 depuis 2022. L'US Feurs joue dans le Stade Rousson,dont la capacité est d'environ 2500 places.

Le club de rugby nommé Le Rugby Club Forézien qui évolue actuellement en Championnat Promotion d'Honneur du Lyonnais.

Le club de vélo Vélo Club Feurs Balbigny qui est affilié à la Fédération française de cyclisme et à la Fédération sportive et gymnique du travail.

Le Club de Handball nommé Feurs Handball évolue au niveau régional.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2020, Feurs comportait 3 993 ménages fiscaux.

La médiane du revenu de la commune est de 20 530 euros.

Emploi

En 2020, le taux de chômage de la commune est de 11,1 % de la population active. Chez les jeunes de 15 à 24 ans le taux de chômage est alors de 19,9 %. Parmi les actifs disposant d'un travail 88,9 % sont des salariés.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (février 2021). Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source. Monuments Historiques

En 2023, on dénombre 5 éléments labélisés au titre des Monuments Historiques à Feurs :

Personnalités liées à la commune

Blasonnement

Blason de Feurs Blason D'or au pot à feu de sable vomissant des flammes de gueules.
Détails Devise: « forum segusaviorum ».
Alias Alias du blason de FeursAlias du blason de Feurs D'or au chevron d'azur chargé d'une merlette d'argent.(Attribué par D'Hozier)

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Feurs, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Duguet 1880, (p. 197), dit "quatre religieuses" mais donne six noms.
  6. Les Ursulines s'établissent à Montbrison en 1626 selon certains (ou 1628 selon Broutin (1876, II), p. 86) à l'emplacement de l'actuel collège Victor-de-Laprade. Elles ouvrent un deuxième couvent en 1648 à la Croix. Voir « Montbrison et le Forez. Promenade à travers l'histoire de la ville et de la province », sur forezhistoire.free.fr (consulté en mai 2022).
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Feurs, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées.
  2. « Distance par la route entre Feurs et Montbrison », sur openstreetmap.org (consulté le 9 janvier 2021).
  3. « Distance par la route entre Feurs et Saint-Étienne », sur openstreetmap.org (consulté le 9 janvier 2021).
  4. « Distance par la route entre Feurs et Roanne », sur openstreetmap.org (consulté le 9 janvier 2021).
  5. « Goincet, Poncins et la Loire, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 15 juillet 2023).

Références

Site de la mairie
  1. « Accessibilité… » (consulté le 17 juin 2019).
  2. « Liste des maires de la ville de Feurs » (consulté le 7 juillet 2022).
  3. « Les écoles maternelles et élémentaires » (consulté le 17 juin 2019).
  4. « Les collèges » (consulté le 17 juin 2019).
  5. « Les lycées » (consulté le 17 juin 2019).
Site de l'Insee
  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, 28 mai 2024 (consulté le 28 juin 2024).
  2. « Unité urbaine 2020 de Feurs », sur insee.fr (consulté le 28 juin 2024).
  3. Insee, « Métadonnées de la commune de Feurs ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Feurs », sur insee.fr (consulté le 28 juin 2024).
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  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Feurs - Section LOG T2 » (consulté le 24 juillet 2023).
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Autres sources
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  2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 8 janvier 2024)
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  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 8 janvier 2024)
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  10. Ptolémée
  11. Paul Valette et Vincent Guichard, « Le forum gallo-romain de Feurs (Loire) », Gallia, vol. 48, no 4,‎ 1991, p. 109-194 (lire en ligne , consulté en mai 2022).
  12. Lavendhomme 1997, p. 137.
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  14. Bernard Rémy, « Une monnaie de Micipsa à Feurs », dans Mélanges en l'honneur de Étienne Fournial, Publications de l'université de Saint-Étienne, coll. « Annales de l'unité d'enseignement et de recherche des lettres et sciences humaines de l'université de Saint-Étienne » (no 1), 1978, sur books.google.fr (lire en ligne), p. 301-305 (voir p. 301.
  15. Rémy 1978, p. 302.
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  17. Jean-Pierre Vallat, « L'évolution des structures agraires et des rapports sociaux dans la cité des Ségusiaves : problèmes et méthodes », Dialogues d'histoire ancienne, t. 4,‎ 1978, p. 187-199 (lire en ligne , consulté en mai 2022).
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  19. André (1830-1904) Auteur du texte Steyert, Armorial général du Lyonnais, Forez et Beaujolais..., 1860 (lire en ligne)
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  31. Nommé officier d'académie par le ministère de l'Instruction publique, des Beaux-Arts et des Cultes, par décret du 24 décembre 1885, mentionné dans « Arrêté nommant des officiers de l'instruction publique », Journal officiel de la République française,‎ 1er janvier 1886, p. 37 (lire en ligne, consulté le 7 juillet 2022).
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  35. C.-E. C., « Loire. Jean-Pierre Taite n'est plus maire de Feurs » Accès libre, Le Progrès, 28 juin 2022 (consulté le 7 juillet 2022).
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  37. « Marianne Darfeuille succède à Jean-Pierre Taite à la tête de la mairie de Feurs : Marianne Darfeuille jusqu'ici première adjointe de la Ville de Feurs, a officiellement été élue maire de Feurs à l'unanimité, à la suite de Jean-Pierre Taite devenu député de la 6e circonscription de la Loire », L'Essor,‎ 5 juillet 2022 (lire en ligne, consulté le 22 juillet 2023).
  38. Sdis : Marianne Darfeuille écartée de la présidence, Le Progrès, Dominique Goubatian, 8 décembre 2023
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  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  43. « Musée d’archéologie Victor de Laprade », sur pop.culture.gouv.fr (consulté en mai 2022).
  44. Site de l'Hippodrome de Feurs