Dans le monde d’aujourd’hui, 2023 en Afrique est un sujet qui a retenu l’attention de nombreuses personnes. Que ce soit en raison de sa pertinence dans la société actuelle, de son impact sur la vie quotidienne ou de son influence dans le domaine professionnel, 2023 en Afrique est un sujet qui continue de susciter intérêt et débat. Depuis des années, 2023 en Afrique fait l’objet d’études, de discussions et d’analyses, et son importance n’a cessé de croître au fil du temps. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects de 2023 en Afrique, son évolution au fil des années et sa pertinence aujourd'hui. À travers diverses approches et perspectives, nous apporterons un éclairage sur ce sujet qui a tant fait parler.
6 janvier : Les 46 militaires ivoiriens condamnés pour tentative d'atteinte à la sûreté extérieure de l'État et incarcérés au Mali sont graciés par le colonel Assimi Goïta, président de la transition malienne[1].
14 février : En Afrique du Sud, 20 personnes sont tuées et 68 autres blessées par une collision frontale entre un bus de tourisme et une camionnette blindée de transport de fonds à Makhado[5].
15 février : 11 personnes sont tuées et 73 autres sont portées disparues et présumées mortes après le naufrage d'un bateau transportant des migrants au large des côtes libyennes[6].
18 personnes sont blessées par trois explosions au départ d'un marathon dans le sud-ouest anglophone du Cameroun, en proie à un sanglant conflit entre l'armée et des rebelles séparatistes[9].
3 mars : au moins douze personnes sont tuées dans l'explosion d'un pipeline à Emohua, dans l'État de Rivers, au Nigeria[10].
9 mars : en Ouganda, le parlement entame un débat sur un projet de loi qui criminaliserait les personnes s'identifiant comme faisant partie de la communauté LGBTQ avec jusqu'à 10 ans de prison. Le projet de loi criminaliserait également la « promotion » de l'homosexualité et la « complicité » ou le « complot » en vue de s'engager dans des relations homosexuelles[11].
27 avril : une attaque contre une base militaire burkinabé dans la région Est du Burkina Faso par des djihadistes tue 33 soldats burkinabés. Au cours de l'attaque, les soldats ont affirmé avoir tué 40 des djihadistes avant l'arrivée des renforts gouvernementaux[15].
15 mai : le Kenya et la Somalie annoncent un accord pour rouvrir leur frontière terrestre au , officiellement fermée depuis 2011 en raison de l'insurrection des islamistes radicaux shebab[17].
13 juillet : au Soudan, Les corps d’au moins 87 personnes, tuées par les forces paramilitaires et leurs alliés ont été enterrés dans une fosse commune au Darfour[21].
16 juillet : des rebelles séparatistes armés tuent une dizaine de civils, à Bamenda, chef-lieu de la région camerounaise du Nord-Ouest, où un conflit sanglant oppose l’armée à des indépendantistes anglophones[22].
16 août : 17 militaires sont tués et 20 autres sont blessés dans une embuscade contre un véhicule militaire à Koutougou, région de Tillabéri au Niger[28].
le Niger, le Mali et le Burkina Faso signent un pacte à trois États nommé Alliance des États du Sahel, s'engageant à prendre la défense de chacun d'entre eux en cas de « rébellion ou d'agression extérieure »[30].
4 novembre : en Guinée, un commando armé attaque la prison de Conakry pour libérer l'ex-dictateur Moussa Dadis Camara et trois autres détenus, causant 9 morts dans le processus (4 membres des forces de sécurité, 3 assaillants, 2 civils) ; Dadis Camara et deux autres détenus sont recapturés le jour-même, mais le dernier évadé, Claude Pivi, reste en fuite[31].
6 novembre : une vingtaine de personnes, dont des femmes et des enfants, sont tuées dans une nouvelle attaque d’un village par des séparatistes anglophones dans l’ouest du Cameroun où ces rebelles et l’armée s’affrontent depuis sept ans[32].
21 novembre : la République démocratique du Congo signe des accords pour le retrait complet de la force de maintien de la paix des Nations unies de la MONUSCO. La MINUSCO compte environ 15 000 soldats de la paix stationnés à travers le pays[35].
27 novembre : en Sierra Leone, une attaque d'hommes armés dans une caserne et un dépôt de munition à Freetown fait une vingtaine de morts ; ils ont aussi libéré les prisonniers de plusieurs centres de détention[36].
28 novembre : au Burkina Faso, une attaque massive contre un détachement de l’armée à Djibo, dans le nord du pays, fait une quarantaine de morts parmi les civils[37].
↑« Soudan, la rivalité entre deux généraux a explosé, des forces paramilitaires disent contrôler l’aéroport international de Khartoum », Le Monde Afrique, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Kenya : un pasteur arrêté après la mort de 4 de ses fidèles », La Croix, (lire en ligne, consulté le )