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Cet article présente les faits marquants de l'année 1110 en santé et médecine.
Fondations
Selon dom Grenier, fondation à Compiègne, par le roi Louis VI le Gros, d'une maladrerie Saint-Ladre ou Saint-Lazare près de la porte de Pierrefonds, à l'endroit appelé aujourd'hui cour de la Madeleine[1].
Fondation, sur la route de Paris à Saint-Denis, d'une léproserie qui est à l'origine de la prison, puis de l'hôpital Saint-Lazare, définitivement fermé en 1998 et dont la chapelle sert aujourd'hui d'amphithéâtre à la faculté de médecine[2].
Avant 1110 : des laïcs fondent à Angers une aumônerie Saint-Benoît probablement située dans le quartier de la Doutre, mais dont rien n'a été conservé[3].
1110- : fl. Nizami Aruzi(en), écrivain et poète persan et, selon ses propres écrits, astronome et médecin, auteur en tout cas, en , de « Quatre Discours » (Chahar maqala) dont le dernier porte sur la médecine[6],[7].
? ou 1110[10],[11] ? : Ibn Tufayl (mort en ), philosophe, astronome, médecin et mathématicien andalou.
1110, ou : Mkhitar de Her (mort en ), médecin, physiologiste et astronome, généralement considéré comme « le père de la médecine classique en Arménie[12],[13] ».
Décès
Pedro de Alfonso (né à une date inconnue), médecin, astronome, traducteur de l'arabe, au service du roi d'Angleterre Henri Ier[14].
Références
↑« Procès-verbaux », Bulletin de la Société historique de Compiègne, vol. 19, , p. 66 (lire en ligne).
↑Chapelle Saint-Vincent-de-Paul. Paris, province de France de la Congrégation de la Mission, (lire en ligne).
↑Jan Van Alphen (dir.) (trad. de l'anglais par Florène Cramant, préf. Fernand Meyer, ill. Mark De Fraeye), Médecines orientales : Guide illustré des médecines d'Asie , Arles, Actes Sud, coll. « Essais sciences », , 271 p. (ISBN2-7427-1881-8, lire en ligne).
↑(en) Victor Cornelius Medvei(en), The History of Clinical Endocrinology : A Comprehensive Account of Endocrinology from Earliest Times to the Present Day, Carnforth et New York, The Parthenon Publishing Group, , 576 p. (ISBN1-85070-427-9, lire en ligne), p. 47, col. 1.
↑(en) Nizami Aruzi(en) et Mohammad Ghazvini (trad. Edward Granville Browne), Revised Translation of the Chahár maqála (« Four discourses ») of Nizámí-i'Arúdí of Samarqand, followed by an abridged translation of Mírzá Muhammad's notes to the Persian text, Londres, printed by the Cambridge University Press for the Trustees of the « E. J. W. Gibb Memorial » and published by Messrs. Luzac & Co, , 186 p. (lire en ligne), « Fourth Discourse : On the Science of Medicine and the right direction of the Physician », p. 75 et suiv.
↑(en) Ḡolām-Ḥosayn Yūsofī, « Čahār maqāla », dans Encyclopaedia Iranica, vol. 4, fasc. 6, (lire en ligne), p. 621-623.
↑(en) La rédaction, « Abraham ben David Halevi ibn Daud, Jewish physician and historian, also known as Rabad I », dans Encyclopaedia Britannica, (lire en ligne).
↑(en) Agop Jack Hacikyan (dir.) et al., The Heritage of Armenian Literature, vol. 2 : From the Sixth to the Eighteenth Century, Détroit, Wayne State University Press, , 1108 p. (ISBN0-8143-3023-1, lire en ligne), p. 427 et suiv..
↑Paul Bellier, « Médecine et médecins arméniens entre le XIIe et le XVe siècle », dans L'Arménie et Byzance : Histoire et culture, Paris, Éditions de la Sorbonne, coll. « Byzantina Sorbonensia » (no 12), , XIV-242- (ISBN978-2-85944-300-9, lire en ligne), p. 31-36 .