Dans le monde d'aujourd'hui, 1758 en France est un sujet qui a gagné en pertinence dans différents domaines. Son impact s’est fait sentir dans la société, l’économie, la politique et la culture. À mesure que 1758 en France a gagné en importance, des débats, des recherches et des analyses approfondis ont eu lieu sur ses implications. À partir de différentes perspectives et disciplines, des réponses, des solutions et des propositions sont recherchées pour résoudre efficacement ce problème. Dans cet article, nous explorerons diverses facettes de 1758 en France, examinant son influence sur le monde contemporain et ouvrant la porte à des réflexions et des discussions sur son rôle dans notre présent et notre avenir.
18 avril : enregistrement d’un édit portant création de trois millions deux cent mille livres de rentes perpétuelles à 4 % exemptes de la retenue du vingtième et des 2 sols sous livres du dixième[4].
24 août : déclaration royale qui ordonne l’augmentation de 4 sols pour livre du prix du tabac à partir du et l’augmentation de gages d’un million de livres sur les offices autres que ceux des cours souveraines[9].
Août : édit royal qui sollicite des villes et des bourgs un don gratuit de six millions de livres pendant six ans à compter du , couvert par des droits sur la consommation, dit plus tard droits réservés (boissons, eaux-de-vie, liqueurs, vins, bières et poirés, bestiaux, foin et bois)[9].
Choiseul inaugure sa politique comme ministre des Affaires étrangères (fin en décembre 1770)[16]. Durant les douze années de l’administration de Choiseul, la France connaît à la fois une période de grande prospérité économique et un climat de démission politique progressive. Homme complet, ami des philosophes, tolérant, Choiseul s’appuie à la Cour sur la Pompadour et s’oppose au parti dévot représenté par le Dauphin et La Vauguyon, chargé de l’éducation du futur Louis XVI. Il prône un gallicanisme nationaliste et semi-libéral, teinté de hargne antijésuitique et de sympathies pro-parlementaires.
le clergé est exempté du don gratuit des villes pour les denrées tirées des bénéfices et les produits destinés à la consommation des communautés[9].
12 décembre : enregistrement d’un édit portant création de 3,6 millions de rentes viagères à 8%[17].
Création d’offices pour 6,8 millions de livres. Fonds de 13 millions de livres versés au Trésor pour prêts et abonnements aux 4 sols pour livres de la capitation, par les villes de Lyon et de Bordeaux, les États de Languedoc, de Provence, de Roussillon et de Bretagne[9].
↑Edmond-Jean-François Barbier, Chronique de la régence et du règne de Louis XV : 1718-1763, Charpentier, (présentation en ligne)
↑ a et bHenri-Georges Gaignard, Connaître Saint-Malo, Fernand Lanore, (présentation en ligne)
↑Maximilian Samson Friedrich Schöll, Cours d'histoire des états européens depuis le bouleversement de l'Empire romain d'Occident jusqu'en 1789, vol. 38, Berlin, Duncker et Humblot, (présentation en ligne)
↑Moreau, Collection des procès-verbaux des assemblées générales du clergé de France depuis l'année 1560 jusqu’à présent rédigés par ordre de matière et réduits à ce qu'ils ont d'essentiel, Guillaume Desprez, (présentation en ligne)
↑François Quesnay, Œuvres économiques complètes et autres textes : Introduction des éditeurs, Textes philosophiques, Textes économiques antérieurs au tableau, Tableau économique, Philosophie rurale, vol. 1, INED, , 796 p. (ISBN978-2-7332-1031-4, présentation en ligne)